[article] Titre : | Peut-on parler d'un "désir d'école" en Casamance ? (1860-1930) | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Céline Labrune-Badiane, Auteur | Année de publication : | 2010 | Article en page(s) : | p. 29-52 | Langues : | Français | Mots-clés : | enseignement public | Résumé : | Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la création des premières écoles par les missionnaires et l’État colonial en Casamance (Sud du Sénégal) suscita des réactions diverses de la population, allant du rejet à l’acceptation en passant par l’indifférence. Dans un premier temps, les populations casamançaises ont exprimé, avant l’implantation effective de l’administration coloniale, un désir d’école qui s’est notamment développé dans un contexte de transformations sociales profondes -initiatives missionnaires et étatiques, insertion dans l’économie de marché- associées à des données plus conjoncturelles, telles que l’action d’un individu, d’un groupe socio-économique ou socio-culturel, d’une communauté. La multitude des configurations observables à l’échelle des villages montre la variété des facteurs qui entrent en jeu dans l’attitude des populations colonisées à l’égard de l’école. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/2258 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 128 (10/2010) . - p. 29-52
[article] Peut-on parler d'un "désir d'école" en Casamance ? (1860-1930) [texte imprimé] / Céline Labrune-Badiane, Auteur . - 2010 . - p. 29-52. Langues : Français in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 128 (10/2010) . - p. 29-52 Mots-clés : | enseignement public | Résumé : | Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la création des premières écoles par les missionnaires et l’État colonial en Casamance (Sud du Sénégal) suscita des réactions diverses de la population, allant du rejet à l’acceptation en passant par l’indifférence. Dans un premier temps, les populations casamançaises ont exprimé, avant l’implantation effective de l’administration coloniale, un désir d’école qui s’est notamment développé dans un contexte de transformations sociales profondes -initiatives missionnaires et étatiques, insertion dans l’économie de marché- associées à des données plus conjoncturelles, telles que l’action d’un individu, d’un groupe socio-économique ou socio-culturel, d’une communauté. La multitude des configurations observables à l’échelle des villages montre la variété des facteurs qui entrent en jeu dans l’attitude des populations colonisées à l’égard de l’école. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/2258 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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