[article] Titre : | Entreprise et gouvernement : à l'épreuve des réseaux | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Fabien Mariotti, Auteur | Année de publication : | 2004 | Article en page(s) : | p. 711-737 | Langues : | Français | Résumé : | L'entreprise distribuée s'est imposée ces deux dernières décennies comme nouveau modèle de référence dans le monde industriel. De la complexité des raisons explicant cette transformation, l'article extrait une hypothèse : c'est un souci de mieux contrôler l'activité productive qui incite les entreprises à externaliser certaines de leurs activités et à "faire du réseau". L'auteur emet cette hypothèse à l'épreuve du terrain, en identifiant les raisons invoquées par les auteurs pour expliquer l'externalisation. Il infère de ces observations une redéfinition du "coeur de métier" de l'entreprise distribuée -notion sur laquelle s'appuie toute justification d'externalisation-, en montrant que ce dernier s'identifie davantage à la compétence politique à gouverner les réseaux qu'à des compétences techniques à proprement parler. in fine, ce raisonnement permet de reconsidérer la question de l'entreprise institution, en identifiant les frontières de cette dernière au périmètre où l'activité de gouvernement s'exerce. | En ligne : | http://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2004-4-page-711.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Revue française de sociologie > 45-4 (10/2004) . - p. 711-737
[article] Entreprise et gouvernement : à l'épreuve des réseaux [texte imprimé] / Fabien Mariotti, Auteur . - 2004 . - p. 711-737. Langues : Français in Revue française de sociologie > 45-4 (10/2004) . - p. 711-737 Résumé : | L'entreprise distribuée s'est imposée ces deux dernières décennies comme nouveau modèle de référence dans le monde industriel. De la complexité des raisons explicant cette transformation, l'article extrait une hypothèse : c'est un souci de mieux contrôler l'activité productive qui incite les entreprises à externaliser certaines de leurs activités et à "faire du réseau". L'auteur emet cette hypothèse à l'épreuve du terrain, en identifiant les raisons invoquées par les auteurs pour expliquer l'externalisation. Il infère de ces observations une redéfinition du "coeur de métier" de l'entreprise distribuée -notion sur laquelle s'appuie toute justification d'externalisation-, en montrant que ce dernier s'identifie davantage à la compétence politique à gouverner les réseaux qu'à des compétences techniques à proprement parler. in fine, ce raisonnement permet de reconsidérer la question de l'entreprise institution, en identifiant les frontières de cette dernière au périmètre où l'activité de gouvernement s'exerce. | En ligne : | http://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2004-4-page-711.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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