[article] Titre : | Pour une critique et une reconstruction féministes de l’éducation thérapeutique : L’exemple de l’endométriose | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Anaïs Choulet-Vallet, Auteur | Année de publication : | 2021 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | maladie chronique masculinisme autonomie relationnelle politique du care épistémologies du standpoint technologie de genre | Résumé : | L’éducation thérapeutique des patient∙e∙s (ETP) se développe depuis une vingtaine d’années afin de répondre aux changements induits par l’augmentation des maladies chroniques. Cette méthode a pour buts d’impliquer les malades dans leur trajectoire thérapeutique et d’opérationnaliser les soins. Si ce dispositif s’appuie sur l’autonomie des usager∙e∙s, il met davantage l’accent sur le rôle des soignant∙e∙s. Ce paradoxe résulte d’un triple impensé : 1. L’ETP présuppose un∙e patient∙e rationnel∙le. 2. L’ETP pense la relation de soin de manière unilatérale. 3. L’ETP sous-estime l’ancrage sociopolitique de l’éducation à la santé. Pour pallier un dévoiement de l’éducation thérapeutique, cet article en propose une critique féministe. Et pour donner consistance à cette critique, cette étude prend l’exemple de l’endométriose. | En ligne : | https://journals.openedition.org/edso/14223 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Éducation et socialisation > N° 60 (07/2021)
[article] Pour une critique et une reconstruction féministes de l’éducation thérapeutique : L’exemple de l’endométriose [document électronique] / Anaïs Choulet-Vallet, Auteur . - 2021. Bibliogr. Langues : Français in Éducation et socialisation > N° 60 (07/2021) Mots-clés : | maladie chronique masculinisme autonomie relationnelle politique du care épistémologies du standpoint technologie de genre | Résumé : | L’éducation thérapeutique des patient∙e∙s (ETP) se développe depuis une vingtaine d’années afin de répondre aux changements induits par l’augmentation des maladies chroniques. Cette méthode a pour buts d’impliquer les malades dans leur trajectoire thérapeutique et d’opérationnaliser les soins. Si ce dispositif s’appuie sur l’autonomie des usager∙e∙s, il met davantage l’accent sur le rôle des soignant∙e∙s. Ce paradoxe résulte d’un triple impensé : 1. L’ETP présuppose un∙e patient∙e rationnel∙le. 2. L’ETP pense la relation de soin de manière unilatérale. 3. L’ETP sous-estime l’ancrage sociopolitique de l’éducation à la santé. Pour pallier un dévoiement de l’éducation thérapeutique, cet article en propose une critique féministe. Et pour donner consistance à cette critique, cette étude prend l’exemple de l’endométriose. | En ligne : | https://journals.openedition.org/edso/14223 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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