BASE DE DONNÉES
DES REVUES DE LA FDE
Liste des revues dépouillées
de la Faculté d'Éducation de l'Académie de Montpellier.
Pour connaître la disponibilité d'un numéro, reportez vous au catalogue BIU
CRD11
CRD30
CRD34
CRD48
CRD66
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Détail de l'auteur
Auteur Olivier Favereau |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la recherche
"L'entreprise est un espace politique, qui doit être pensé comme tel" / Olivier Favereau in Alternatives économiques (Quétigny), 389 (04/2019)
[article]
Titre : "L'entreprise est un espace politique, qui doit être pensé comme tel" Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Favereau, Personne interviewée ; Christian Chavagneux, Intervieweur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.68-71 Langues : Français Mots-clés : direction de l'entreprise Résumé : Entretien avec l'économiste Olivier Favereau consacré à la gouvernance des entreprises : la conception de l'entreprise comme un espace politique, la gestion de l'entreprise depuis 1945, le tournant des années 1970 au profit des actionnaires, la question du capital humain apporté par les salariés, les enjeux d'un rééquilibrage du pouvoir entre salariés et actionnaires, l'instauration de la codétermination en Europe, le retard de la France.
in Alternatives économiques (Quétigny) > 389 (04/2019) . - p.68-71[article] "L'entreprise est un espace politique, qui doit être pensé comme tel" [texte imprimé] / Olivier Favereau, Personne interviewée ; Christian Chavagneux, Intervieweur . - 2019 . - p.68-71.
Langues : Français
in Alternatives économiques (Quétigny) > 389 (04/2019) . - p.68-71
Mots-clés : direction de l'entreprise Résumé : Entretien avec l'économiste Olivier Favereau consacré à la gouvernance des entreprises : la conception de l'entreprise comme un espace politique, la gestion de l'entreprise depuis 1945, le tournant des années 1970 au profit des actionnaires, la question du capital humain apporté par les salariés, les enjeux d'un rééquilibrage du pouvoir entre salariés et actionnaires, l'instauration de la codétermination en Europe, le retard de la France. La pièce manquante de la sociologie du choix rationnel / Olivier Favereau in Revue française de sociologie, 44-2 (04/2003)
[article]
Titre : La pièce manquante de la sociologie du choix rationnel Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Favereau, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 275-295 Langues : Français Résumé : Le projet colemanien est de re-socialiser le choix rationnel, tout en maintenant des connexions micro-macro aussi opérationnelles qu'en économie. Le modèle général des "Foundations" soit rendre compte des normes mais l'organisation sociale s'efface, soit remet celle-ci au premier plan (sous la forme réduite du capital social) mais n'engendre plus assez de normes. Un travail parallèle de simulation donne à penser que le problème vient de la rationalité elle-même : simplement calculatoire, alors que seule une rationalité interprétative pourrait prendre en considération des objets collectifs. Ce changement exigerait que l'acteur rationnel eût accès à un langage moins sommaire : intensionnel et non plus extensionnel. En ligne : http://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2003-2-page-275.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Revue française de sociologie > 44-2 (04/2003) . - p. 275-295[article] La pièce manquante de la sociologie du choix rationnel [texte imprimé] / Olivier Favereau, Auteur . - 2003 . - p. 275-295.
Langues : Français
in Revue française de sociologie > 44-2 (04/2003) . - p. 275-295
Résumé : Le projet colemanien est de re-socialiser le choix rationnel, tout en maintenant des connexions micro-macro aussi opérationnelles qu'en économie. Le modèle général des "Foundations" soit rendre compte des normes mais l'organisation sociale s'efface, soit remet celle-ci au premier plan (sous la forme réduite du capital social) mais n'engendre plus assez de normes. Un travail parallèle de simulation donne à penser que le problème vient de la rationalité elle-même : simplement calculatoire, alors que seule une rationalité interprétative pourrait prendre en considération des objets collectifs. Ce changement exigerait que l'acteur rationnel eût accès à un langage moins sommaire : intensionnel et non plus extensionnel. En ligne : http://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2003-2-page-275.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral