[article] Titre : | La violence dans les collèges au XVIIIe siècle | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Philippe Marchand, Auteur | Année de publication : | 2008 | Article en page(s) : | p. 67-82 | Langues : | Français | Mots-clés : | 18e siècle violence adolescence collège d’humanités | Résumé : | Dans les premiers jours de février 1757, un élève du collège du Quesnoy, s’estimant insulté par un de ses condisciples, le frappe d’un coup de couteau mortel. En octobre 1758, au collège de Bavay, un élève injustement accusé d’avoir été à l’origine d’un tumulte se voit condamner au fouet ; ses camarades protestent, le condamné frappe le supérieur du collège d’un coup de couteau sans gravité et s’enfuit. Ces deux affaires montrent que les châtiments corporels sont loin d’être démodés dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Elles mettent également en lumière les réactions des personnalités extérieures à l’institution scolaire qui, d’accord pour condamner le geste des deux adolescents, cherchent en même temps à comprendre leurs motivations et sont amenées à mettre en cause le comportement des responsables des deux collèges. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/546 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 118 (04/2008) . - p. 67-82
[article] La violence dans les collèges au XVIIIe siècle [texte imprimé] / Philippe Marchand, Auteur . - 2008 . - p. 67-82. Langues : Français in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 118 (04/2008) . - p. 67-82 Mots-clés : | 18e siècle violence adolescence collège d’humanités | Résumé : | Dans les premiers jours de février 1757, un élève du collège du Quesnoy, s’estimant insulté par un de ses condisciples, le frappe d’un coup de couteau mortel. En octobre 1758, au collège de Bavay, un élève injustement accusé d’avoir été à l’origine d’un tumulte se voit condamner au fouet ; ses camarades protestent, le condamné frappe le supérieur du collège d’un coup de couteau sans gravité et s’enfuit. Ces deux affaires montrent que les châtiments corporels sont loin d’être démodés dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Elles mettent également en lumière les réactions des personnalités extérieures à l’institution scolaire qui, d’accord pour condamner le geste des deux adolescents, cherchent en même temps à comprendre leurs motivations et sont amenées à mettre en cause le comportement des responsables des deux collèges. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/546 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
|