[article] Titre : | Les femmes et l'université en France 1860-1914 : pour une historiographie comparée | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Natalia Tikhonov Sigrist, Auteur | Année de publication : | 2009 | Article en page(s) : | p. 53-70 | Langues : | Français | Mots-clés : | historiographie enseignement supérieur France femme étudiante filière | Résumé : | Cet article se propose d’examiner la question de la présence des femmes dans les universités françaises, en mettant en perspective les historiographies française et étrangères. Si les travaux sur l’histoire de l’instruction secondaire des femmes sont désormais relativement abondants, l’historiographie de leur instruction supérieure fait toujours figure de parent pauvre, à l’exception du cas parisien. Les travaux les plus nombreux sont ceux qui se focalisent sur un groupe particulier d’étudiantes, défini par une spécialité, et notamment la mieux représentée d’entre elles, la médecine. L’appartenance nationale s’avère être un autre critère fréquemment utilisé par les historiens de l’enseignement supérieur pour délimiter leur champ de recherche. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/1940 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 122 (04/2009) . - p. 53-70
[article] Les femmes et l'université en France 1860-1914 : pour une historiographie comparée [texte imprimé] / Natalia Tikhonov Sigrist, Auteur . - 2009 . - p. 53-70. Langues : Français in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 122 (04/2009) . - p. 53-70 Mots-clés : | historiographie enseignement supérieur France femme étudiante filière | Résumé : | Cet article se propose d’examiner la question de la présence des femmes dans les universités françaises, en mettant en perspective les historiographies française et étrangères. Si les travaux sur l’histoire de l’instruction secondaire des femmes sont désormais relativement abondants, l’historiographie de leur instruction supérieure fait toujours figure de parent pauvre, à l’exception du cas parisien. Les travaux les plus nombreux sont ceux qui se focalisent sur un groupe particulier d’étudiantes, défini par une spécialité, et notamment la mieux représentée d’entre elles, la médecine. L’appartenance nationale s’avère être un autre critère fréquemment utilisé par les historiens de l’enseignement supérieur pour délimiter leur champ de recherche. | En ligne : | http://journals.openedition.org/histoire-education/1940 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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