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Auteur Mélanie Perron |
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Compréhension de la dissimulation des émotions chez l'enfant d'âge scolaire / Mélanie Perron in Enfance (Paris. 1948), 2007-02 (06/2007)
[article]
Titre : Compréhension de la dissimulation des émotions chez l'enfant d'âge scolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Mélanie Perron, Auteur ; Pierre Gosselin, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 109-126 : Langues : Français Mots-clés : compréhension sentiment dissimulation Résumé : Etude examinant la compréhension de la notion de dissimulation des émotions au cours de la deuxième moitié de l'enfance. Une attention particulière est prêtée à la jutesse et à la complexité du raisonnement des enfants lorsqu'ils doivent expliquer les raisons pour lesquelles une personne dissimule une émotion qu'elle ressent. Les résultats montrent que les enfants de 9-10 ans comprennent mieux la distinction entre les émotions réelles et apparentes que ceux de 5-6 ans et que leur raisonnement est plus juste et plus complexe. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfance1-2007-2-page-109.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfance (Paris. 1948) > 2007-02 (06/2007) . - p. 109-126 :[article] Compréhension de la dissimulation des émotions chez l'enfant d'âge scolaire [texte imprimé] / Mélanie Perron, Auteur ; Pierre Gosselin, Auteur . - 2007 . - p. 109-126 :.
Langues : Français
in Enfance (Paris. 1948) > 2007-02 (06/2007) . - p. 109-126 :
Mots-clés : compréhension sentiment dissimulation Résumé : Etude examinant la compréhension de la notion de dissimulation des émotions au cours de la deuxième moitié de l'enfance. Une attention particulière est prêtée à la jutesse et à la complexité du raisonnement des enfants lorsqu'ils doivent expliquer les raisons pour lesquelles une personne dissimule une émotion qu'elle ressent. Les résultats montrent que les enfants de 9-10 ans comprennent mieux la distinction entre les émotions réelles et apparentes que ceux de 5-6 ans et que leur raisonnement est plus juste et plus complexe. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfance1-2007-2-page-109.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral Le développement de l'évocation des émotions / Mélanie Perron in Enfance (Paris. 1948), 2004-02 (04/2004)
[article]
Titre : Le développement de l'évocation des émotions Type de document : texte imprimé Auteurs : Mélanie Perron, Auteur ; Pierre Gosselin, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 133 - 147 : Langues : Français Mots-clés : expression des émotions / Résumé : Dans cette étude, les auteurs examinent la capacité des enfants à évoquer l'expression faciale des émotions en portant une attention particulière à la vraisemblance des expressions. Les expressions faciales évoquées par des enfants âgés entre 5 et 10 ans sont évaluées par un groupe de 25 observateurs adultes relativement à la catégorie de l'émotion encodée et à la vraisemblance des expressions. Les résultats indiquent que les filles évoquent mieux la joie et la tristesse que la colère et la peur et que les garçons évoquent mieux la joie que les autres émotions. La performance des garçons est supérieure à celle des filles pour la colère, mais inférieure à celle des filles pour la tristesse. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfance1-2004-2-page-133.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfance (Paris. 1948) > 2004-02 (04/2004) . - p. 133 - 147 :[article] Le développement de l'évocation des émotions [texte imprimé] / Mélanie Perron, Auteur ; Pierre Gosselin, Auteur . - 2004 . - p. 133 - 147 :.
Langues : Français
in Enfance (Paris. 1948) > 2004-02 (04/2004) . - p. 133 - 147 :
Mots-clés : expression des émotions / Résumé : Dans cette étude, les auteurs examinent la capacité des enfants à évoquer l'expression faciale des émotions en portant une attention particulière à la vraisemblance des expressions. Les expressions faciales évoquées par des enfants âgés entre 5 et 10 ans sont évaluées par un groupe de 25 observateurs adultes relativement à la catégorie de l'émotion encodée et à la vraisemblance des expressions. Les résultats indiquent que les filles évoquent mieux la joie et la tristesse que la colère et la peur et que les garçons évoquent mieux la joie que les autres émotions. La performance des garçons est supérieure à celle des filles pour la colère, mais inférieure à celle des filles pour la tristesse. En ligne : http://www.cairn.info/revue-enfance1-2004-2-page-133.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral Sourires authentiques et sourires simulés : exploration oculaire et jugement chez les enfants / Chantal Charrette in Enfance (Paris. 1948), 2019-02 (04/2019)
[article]
Titre : Sourires authentiques et sourires simulés : exploration oculaire et jugement chez les enfants Type de document : texte imprimé Auteurs : Chantal Charrette, Auteur ; Mélanie Perron, Auteur ; Dominic Guitard, Auteur ; Annie Roy-Charland, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 181-199 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : enfant sourire jugement de l'authenticité mouvement oculaire Résumé : Le but de la présente étude est d’examiner le lien entre le traitement perceptuel et attentionnel des vrais et des faux sourires à l’aide de l’enregistrement des mouvements oculaires lors de la tâche de jugement de l’authenticité des sourires chez les enfants. Des enfants âgés de 6-7 ans et 9-10 ans sont exposés à des sourires comprenant les caractéristiques d’un sourire authentique (Duchenne symétrique) ainsi que des sourires sans l’activation du marqueur de Duchenne (non-Duchenne) et des sourires asymétriques (Duchenne asymétrique), deux signes de non-authenticité. Les résultats révèlent que les enfants, peu importe leur groupe d’âge, jugent le sourire Duchenne symétrique plus joyeux que le sourire Duchenne asymétrique et le sourire Duchenne asymétrique plus joyeux que le sourire non-Duchenne. Les participants donnent également la réponse attendue plus souvent pour le sourire Duchenne symétrique et le sourire non-Duchenne que pour le sourire Duchenne asymétrique. Toutefois, l’analyse des saccades et du temps de fixation ne révèle aucune différence significative en fonction du type de sourire (Duchenne symétrique, Duchenne asymétrique, non-Duchenne), et ce pour les deux groupes d’âge. En somme, les tendances des mouvements oculaires chez les enfants ne permettent pas d’écarter hypothèse des limites attentionnelles-perceptuelles. L’implication théorique des résultats est discutée en plus de faire le lien avec les études antérieures chez les adultes. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfance-2019-2-page-181.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfance (Paris. 1948) > 2019-02 (04/2019) . - p. 181-199[article] Sourires authentiques et sourires simulés : exploration oculaire et jugement chez les enfants [texte imprimé] / Chantal Charrette, Auteur ; Mélanie Perron, Auteur ; Dominic Guitard, Auteur ; Annie Roy-Charland, Auteur . - 2019 . - p. 181-199.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfance (Paris. 1948) > 2019-02 (04/2019) . - p. 181-199
Mots-clés : enfant sourire jugement de l'authenticité mouvement oculaire Résumé : Le but de la présente étude est d’examiner le lien entre le traitement perceptuel et attentionnel des vrais et des faux sourires à l’aide de l’enregistrement des mouvements oculaires lors de la tâche de jugement de l’authenticité des sourires chez les enfants. Des enfants âgés de 6-7 ans et 9-10 ans sont exposés à des sourires comprenant les caractéristiques d’un sourire authentique (Duchenne symétrique) ainsi que des sourires sans l’activation du marqueur de Duchenne (non-Duchenne) et des sourires asymétriques (Duchenne asymétrique), deux signes de non-authenticité. Les résultats révèlent que les enfants, peu importe leur groupe d’âge, jugent le sourire Duchenne symétrique plus joyeux que le sourire Duchenne asymétrique et le sourire Duchenne asymétrique plus joyeux que le sourire non-Duchenne. Les participants donnent également la réponse attendue plus souvent pour le sourire Duchenne symétrique et le sourire non-Duchenne que pour le sourire Duchenne asymétrique. Toutefois, l’analyse des saccades et du temps de fixation ne révèle aucune différence significative en fonction du type de sourire (Duchenne symétrique, Duchenne asymétrique, non-Duchenne), et ce pour les deux groupes d’âge. En somme, les tendances des mouvements oculaires chez les enfants ne permettent pas d’écarter hypothèse des limites attentionnelles-perceptuelles. L’implication théorique des résultats est discutée en plus de faire le lien avec les études antérieures chez les adultes. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfance-2019-2-page-181.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral