[article] Titre : | Violence à l'école : le rôle de la verbalisation des émotions | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Marie-Madeleine Bertucci, Auteur | Année de publication : | 2006 | Article en page(s) : | p. 105-110 : | Langues : | Français | Mots-clés : | violence expression orale verbalisation sentiment | Résumé : | La violence verbale est la forme de violence la plus couramment ressentie par les enseignants (Debarbieux, 1999), mais elle est vécue comme étant moins grave que la violence physique ou les actes de vandalisme. On connait la pratique, bien installée chez les élèves, des insultes rituelles, de la vanne. On évoque moins souvent les intonations, la prosodie, la tonalité, l'intensité, les mimiques, la gestuelle, qui permettent à l'interlocuteur de saisir facilement la nature des paroles qui lui sont adressées, mais qui en revanche, peuvent amener l'auditeur adulte à hésiter sur le caractère conflictuel ou non de certaines conversatons qui ne lui sont pas destinées directement. Ces pratiques langagières ne constituent pas forcément une agression mais elles contribuent à entretenir la sensation d'un climat de violence latente sur lequel se détachent les véritables interactions violentes, objet de l'étude. | En ligne : | http://www.cairn.info/revue-le-francais-aujourd-hui-2006-4-page-105.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Le Français aujourd'hui > 155 (12/2006) . - p. 105-110 :
[article] Violence à l'école : le rôle de la verbalisation des émotions [texte imprimé] / Marie-Madeleine Bertucci, Auteur . - 2006 . - p. 105-110 :. Langues : Français in Le Français aujourd'hui > 155 (12/2006) . - p. 105-110 : Mots-clés : | violence expression orale verbalisation sentiment | Résumé : | La violence verbale est la forme de violence la plus couramment ressentie par les enseignants (Debarbieux, 1999), mais elle est vécue comme étant moins grave que la violence physique ou les actes de vandalisme. On connait la pratique, bien installée chez les élèves, des insultes rituelles, de la vanne. On évoque moins souvent les intonations, la prosodie, la tonalité, l'intensité, les mimiques, la gestuelle, qui permettent à l'interlocuteur de saisir facilement la nature des paroles qui lui sont adressées, mais qui en revanche, peuvent amener l'auditeur adulte à hésiter sur le caractère conflictuel ou non de certaines conversatons qui ne lui sont pas destinées directement. Ces pratiques langagières ne constituent pas forcément une agression mais elles contribuent à entretenir la sensation d'un climat de violence latente sur lequel se détachent les véritables interactions violentes, objet de l'étude. | En ligne : | http://www.cairn.info/revue-le-francais-aujourd-hui-2006-4-page-105.htm | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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