[article] Titre : | Praxéologies didactiques et praxéologies mathématiques. A propos d'un enseignement des limites au secondaire | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Maggy Schneider, Auteur | Année de publication : | 2001 | Article en page(s) : | p. 7-56 | Note générale : | Perdu | Langues : | Français | Mots-clés : | enseignement limite : mathématique | Résumé : | Cet article étudie un projet d’enseignement des limites au cycle secondaire en jouant sur la complémentarité de la théorie des situations didactiques de Guy Brousseau et de la théorie anthropologique du didactique d’Yves Chevallard. De la première, on emprunte principalement la notion d’adidacticité qui permet de marquer la filiation aux théories constructivistes dont se réclame l’approche « heuristique » des limites prise pour objet d’étude. La seconde met en évidence plusieurs caractéristiques d’une certaine praxéologie didactique, inspirée par l’idéologie des « situations-problèmes », à savoir un enchevêtrement complexe de praxéologies mathématiques locales dont l’unification suppose une mémoire didactique à long terme et une grande spécificité des connaissances et des techniques par rapport aux exemples rencontrés. Au-delà de ce « produit » du génie didactique, le présent article, qui pose également la question des dispositifs d’aide à l’étude, constitue une première approche d’une interrogation plus fondamentale, à l’articulation de la théorie des situations et de la théorie anthropologique : quel est le prix payé par la recherche d’adidacticité en termes d’organisations praxéologiques ? | in Recherches en didactique des mathématiques > 61/62 (2001) . - p. 7-56
[article] Praxéologies didactiques et praxéologies mathématiques. A propos d'un enseignement des limites au secondaire [texte imprimé] / Maggy Schneider, Auteur . - 2001 . - p. 7-56. Perdu Langues : Français in Recherches en didactique des mathématiques > 61/62 (2001) . - p. 7-56 Mots-clés : | enseignement limite : mathématique | Résumé : | Cet article étudie un projet d’enseignement des limites au cycle secondaire en jouant sur la complémentarité de la théorie des situations didactiques de Guy Brousseau et de la théorie anthropologique du didactique d’Yves Chevallard. De la première, on emprunte principalement la notion d’adidacticité qui permet de marquer la filiation aux théories constructivistes dont se réclame l’approche « heuristique » des limites prise pour objet d’étude. La seconde met en évidence plusieurs caractéristiques d’une certaine praxéologie didactique, inspirée par l’idéologie des « situations-problèmes », à savoir un enchevêtrement complexe de praxéologies mathématiques locales dont l’unification suppose une mémoire didactique à long terme et une grande spécificité des connaissances et des techniques par rapport aux exemples rencontrés. Au-delà de ce « produit » du génie didactique, le présent article, qui pose également la question des dispositifs d’aide à l’étude, constitue une première approche d’une interrogation plus fondamentale, à l’articulation de la théorie des situations et de la théorie anthropologique : quel est le prix payé par la recherche d’adidacticité en termes d’organisations praxéologiques ? |
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