[article] Titre : | Autour d’une société des affects positifs | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Thomas Seguin, Auteur | Année de publication : | 2017 | Article en page(s) : | p. 27-37 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | affect positivité Spinoza, Baruch (1632-1677) bonheur société | Résumé : | L’attention grandissante portée à la notion de bien-être, et de bonheur, provient sans nul doute d’une nouvelle conceptualisation de la pensée de la croissance. Progressivement la croissance post-matérialiste se substitue à la croissance matérialiste en ce que les déterminants qualitatifs et subjectifs de l’individualité deviennent prépondérants. Néanmoins, il ne faudrait pas non plus réitérer une vision cumulative simplement individualiste qui a été celle de la croissance mesurée de manière matérialiste, il conviendrait en effet de prendre en compte le bonheur d’un individu pris dans un environnement plus ample d’interactions sociales. Situer le bonheur individuel en fonction des interactions sociales dans une réalisation du bonheur collectif constitue probablement un des défis majeurs d’une pensée du bonheur, reposant ainsi la vieille thématique sociologique de l’harmonie entre le milieu social et l’individu, ou plus proche de nous celle de l’émancipation. C’est en termes de "rapport" que nous pouvons imaginer une société du bonheur en suivant notamment les enseignements de Spinoza, Deleuze et Foucault | En ligne : | https://sciencesetbonheur.files.wordpress.com/2017/09/setb_2_ete2017.pdf | Format de la ressource électronique : | Numéro intégral | in Sciences & Bonheur > N° 02 (09/2017) . - p. 27-37
[article] Autour d’une société des affects positifs [document électronique] / Thomas Seguin, Auteur . - 2017 . - p. 27-37. Bibliogr. Langues : Français in Sciences & Bonheur > N° 02 (09/2017) . - p. 27-37 Mots-clés : | affect positivité Spinoza, Baruch (1632-1677) bonheur société | Résumé : | L’attention grandissante portée à la notion de bien-être, et de bonheur, provient sans nul doute d’une nouvelle conceptualisation de la pensée de la croissance. Progressivement la croissance post-matérialiste se substitue à la croissance matérialiste en ce que les déterminants qualitatifs et subjectifs de l’individualité deviennent prépondérants. Néanmoins, il ne faudrait pas non plus réitérer une vision cumulative simplement individualiste qui a été celle de la croissance mesurée de manière matérialiste, il conviendrait en effet de prendre en compte le bonheur d’un individu pris dans un environnement plus ample d’interactions sociales. Situer le bonheur individuel en fonction des interactions sociales dans une réalisation du bonheur collectif constitue probablement un des défis majeurs d’une pensée du bonheur, reposant ainsi la vieille thématique sociologique de l’harmonie entre le milieu social et l’individu, ou plus proche de nous celle de l’émancipation. C’est en termes de "rapport" que nous pouvons imaginer une société du bonheur en suivant notamment les enseignements de Spinoza, Deleuze et Foucault | En ligne : | https://sciencesetbonheur.files.wordpress.com/2017/09/setb_2_ete2017.pdf | Format de la ressource électronique : | Numéro intégral |
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