[article] Titre : | La représentation théâtrale ou le pouvoir du verbal. Sur l'exemple de tragédies classiques françaises et de tragédies d'Eschyle | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Blanche-Noëlle Grunig, Auteur | Année de publication : | 2003 | Article en page(s) : | p. 101-108 : | Langues : | Français | Mots-clés : | énonciation Eschyle : 0525-0456 AV-JC processus cognitif visualisation temporalité | Résumé : | En partant des trois repères énonciatifs bien connus proposition de quelques analyses d’ordre linguistique et neuropsychologique. Certes, c’est en règle générale le personnage plutôt que l’acteur qui dit Je. Mais la relation entre acteur et spectateur(s) n’en est pas moins forte. En particulier est signalé que, chaque spectateur est relié de façon physique à tel ou tel acteur : la voix joue évidemment son rôle mais tout autant la participation d’un spectateur à la posture et au mouvement d’un acteur, sur le fondement d’une mémoire dynamique que ce spectateur tient inscrite dans son propre cerveau. | En ligne : | https://www.persee.fr/doc/prati_0338-2389_2003_num_119_1_2014 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Pratiques (Metz) > 119-120 (12/2003) . - p. 101-108 :
[article] La représentation théâtrale ou le pouvoir du verbal. Sur l'exemple de tragédies classiques françaises et de tragédies d'Eschyle [texte imprimé] / Blanche-Noëlle Grunig, Auteur . - 2003 . - p. 101-108 :. Langues : Français in Pratiques (Metz) > 119-120 (12/2003) . - p. 101-108 : Mots-clés : | énonciation Eschyle : 0525-0456 AV-JC processus cognitif visualisation temporalité | Résumé : | En partant des trois repères énonciatifs bien connus proposition de quelques analyses d’ordre linguistique et neuropsychologique. Certes, c’est en règle générale le personnage plutôt que l’acteur qui dit Je. Mais la relation entre acteur et spectateur(s) n’en est pas moins forte. En particulier est signalé que, chaque spectateur est relié de façon physique à tel ou tel acteur : la voix joue évidemment son rôle mais tout autant la participation d’un spectateur à la posture et au mouvement d’un acteur, sur le fondement d’une mémoire dynamique que ce spectateur tient inscrite dans son propre cerveau. | En ligne : | https://www.persee.fr/doc/prati_0338-2389_2003_num_119_1_2014 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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