[article] Titre : | Limite de validité statistique et clinique du QIT | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Lionel Lingelser, Auteur ; Nathalie Chevillot, Auteur ; Jean-Marie Besse, Auteur | Année de publication : | 2010 | Article en page(s) : | p. 77-94 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | intelligence WISC validité clinique quotient intellectuel biais | Résumé : | Les auteurs, à l'instar des fondateurs et face aux dérives de l'utilisation des chiffres de QI aujourd'hui, continuent d’interroger les limites de l’usage du Quotient Intellectuel dans le cadre du bilan psychologique. Leur recherche expérimentale concerne le QIT du WISC IV, sa valeur, notamment s'il est homogène ou non, son interprétation critique dans une population à déficit culturel et langagier. Elle est complétée par l'étude clinique de la situation de trois enfants. Les auteurs rappellent ce qu'est l'approche clinique au sens de Lagache et Favez Boutonnier et les critiques dans la littérature de l'utilisation sans nuance des évaluations cognitives chiffrées. Ils rappellent que le rôle du psychologue est de garantir la prise en compte du sujet en situation, dans sa globalité, l'importance de son regard d'expert, et celle de l'interprétation critique de la dimension chiffrée d’une évaluation cognitive comme le QIT obtenu au WISC-IV. Ce qui doit être défendu c'est la place du test dans le bilan, l'importance de l’interprétation des chiffres par le psychologue et sa position clinique au cours du bilan. | in Psychologie & Education (Dourdan) > 2010-04 (12/2010) . - p. 77-94
[article] Limite de validité statistique et clinique du QIT [texte imprimé] / Lionel Lingelser, Auteur ; Nathalie Chevillot, Auteur ; Jean-Marie Besse, Auteur . - 2010 . - p. 77-94. Bibliogr. Langues : Français in Psychologie & Education (Dourdan) > 2010-04 (12/2010) . - p. 77-94 Mots-clés : | intelligence WISC validité clinique quotient intellectuel biais | Résumé : | Les auteurs, à l'instar des fondateurs et face aux dérives de l'utilisation des chiffres de QI aujourd'hui, continuent d’interroger les limites de l’usage du Quotient Intellectuel dans le cadre du bilan psychologique. Leur recherche expérimentale concerne le QIT du WISC IV, sa valeur, notamment s'il est homogène ou non, son interprétation critique dans une population à déficit culturel et langagier. Elle est complétée par l'étude clinique de la situation de trois enfants. Les auteurs rappellent ce qu'est l'approche clinique au sens de Lagache et Favez Boutonnier et les critiques dans la littérature de l'utilisation sans nuance des évaluations cognitives chiffrées. Ils rappellent que le rôle du psychologue est de garantir la prise en compte du sujet en situation, dans sa globalité, l'importance de son regard d'expert, et celle de l'interprétation critique de la dimension chiffrée d’une évaluation cognitive comme le QIT obtenu au WISC-IV. Ce qui doit être défendu c'est la place du test dans le bilan, l'importance de l’interprétation des chiffres par le psychologue et sa position clinique au cours du bilan. |
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