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Recherches en didactique des mathématiques . 84Bulletin N°84Mention de date : 12/2008 Paru le : 01/12/2008 |
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[article]
Titre : L’hétérogénéité des rapports des élèves au domaine numérique au début et à la fin de la première année de l’école élémentaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Graciela Ricco, Auteur ; Guilaine Menotti, Auteur ; Catherine Boyer, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 279-318 Langues : Français Mots-clés : numération hétérogénéité cardinalité énumération ZEP (Zone d'Éducation Prioritaire) rapports des élèves Résumé : Cet article s’inscrit dans une recherche examinant la complexité et l’évolution des rapports des élèves lors des premiers apprentissages du domaine numérique à l’école.Pour explorer les rapports des élèves nous avons créé une épreuve constituée de cinq champs : Champ 1 « énoncer une suite numérique » ; Champ 2 « dénombrer une collection discrète » ; Champ 3 « comparer des collections discrètes » ; Champ 4 « résoudre un problème de type additif » ; Champ 5 « Déterminer les ostensifs pertinents dans le contexte », soit 126 items. À partir des résultats obtenus par les élèves à cette épreuve lors de sa passation individuelle en début (T1) puis fin (T3) d’année scolaire, nous présentons l’évolution des rapports des élèves à ces différents champs au cours de l’année. Les élèves appartenaient à deux classes de Cours Préparatoire [C.P. (âge 6 ans)] observées pendant un an. Ces deux classes étaient institutionnellement contrastées, une « ordinaire » et l’autre située en Zone d’Education Prioritaire.Nos résultats sont issus de deux analyses statistiques. La première montre l’absence de différences significatives entre nos deux classes et une homogénéisation des résultats sur les champs 1 et 5. Une grande proportion d’élèves restant, à la fin de l’année, en échec dans la résolution de problèmes de type additif (champ 4), cette résolution appelant un rapport opératoire aux nombres. La deuxième analyse statistique nous a permis de dégager une typologie de rapports des élèves. Nos résultats tendent à confirmer que l’élaboration de ces rapports relève d’un ordre partiel et non total. En ligne : https://revue-rdm.com/2008/l-heterogeneite-des-rapports-des/ Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en didactique des mathématiques > 84 (12/2008) . - p. 279-318[article] L’hétérogénéité des rapports des élèves au domaine numérique au début et à la fin de la première année de l’école élémentaire [texte imprimé] / Graciela Ricco, Auteur ; Guilaine Menotti, Auteur ; Catherine Boyer, Auteur . - 2008 . - p. 279-318.
Langues : Français
in Recherches en didactique des mathématiques > 84 (12/2008) . - p. 279-318
Mots-clés : numération hétérogénéité cardinalité énumération ZEP (Zone d'Éducation Prioritaire) rapports des élèves Résumé : Cet article s’inscrit dans une recherche examinant la complexité et l’évolution des rapports des élèves lors des premiers apprentissages du domaine numérique à l’école.Pour explorer les rapports des élèves nous avons créé une épreuve constituée de cinq champs : Champ 1 « énoncer une suite numérique » ; Champ 2 « dénombrer une collection discrète » ; Champ 3 « comparer des collections discrètes » ; Champ 4 « résoudre un problème de type additif » ; Champ 5 « Déterminer les ostensifs pertinents dans le contexte », soit 126 items. À partir des résultats obtenus par les élèves à cette épreuve lors de sa passation individuelle en début (T1) puis fin (T3) d’année scolaire, nous présentons l’évolution des rapports des élèves à ces différents champs au cours de l’année. Les élèves appartenaient à deux classes de Cours Préparatoire [C.P. (âge 6 ans)] observées pendant un an. Ces deux classes étaient institutionnellement contrastées, une « ordinaire » et l’autre située en Zone d’Education Prioritaire.Nos résultats sont issus de deux analyses statistiques. La première montre l’absence de différences significatives entre nos deux classes et une homogénéisation des résultats sur les champs 1 et 5. Une grande proportion d’élèves restant, à la fin de l’année, en échec dans la résolution de problèmes de type additif (champ 4), cette résolution appelant un rapport opératoire aux nombres. La deuxième analyse statistique nous a permis de dégager une typologie de rapports des élèves. Nos résultats tendent à confirmer que l’élaboration de ces rapports relève d’un ordre partiel et non total. En ligne : https://revue-rdm.com/2008/l-heterogeneite-des-rapports-des/ Format de la ressource électronique : Texte intégral Construction de la référence et milieux différentiels dans l’action conjointe du professeur et des élèves. Le cas d’un problème d’agrandissement de distances / Florence Ligozat in Recherches en didactique des mathématiques, 84 (12/2008)
[article]
Titre : Construction de la référence et milieux différentiels dans l’action conjointe du professeur et des élèves. Le cas d’un problème d’agrandissement de distances Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Ligozat, Auteur ; Francia Leutenegger, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 319-378 Langues : Français Mots-clés : action conjointe contrat didactique milieu construction de la référence mesogenèse chronogenèse topogenèse proportionnalité agrandissement didactique ordinaire Résumé : Cette contribution propose une mise à l’épreuve empirique des catégories d’un modèle de l’action didactique conjointe entre professeur et élèves, élaboré dans le cadre des recherches comparatistes en didactique, afin d’étudier les caractéristiques du didactique ordinaire. En retravaillant le concept de contrat didactique, en terme d’intentions partagées et réciproques (intention d’enseigner / intention d’apprendre) autour d’un processus de co-construction d’une référence, par le professeur et les élèves, nous repérons les configurations d’objets, de règles d’action, de traits pertinents et de contradictions qui émergent dans les transactions didactiques. Nous observons alors comment ces objets peuvent ou non se constituer en un milieu pour apprendre, en regard de l’analyse a priori des enjeux de savoir potentiellement présents dans la situation, mais aussi en fonction des gestes que l’enseignant déploie pour assurer la progression du savoir dans la classe (techniques chronogénétiques et topogénétiques). En particulier, dans cette séance de travail mettant en jeu un problème de proportionnalité (grade 6), nous montrons comment deux élèves, qui collaborent à la résolution du problème, en viennent à travailler sur des milieux différents et comment le professeur ne peut valider et instituer l’une des techniques de résolution ainsi produite. L’observation fine de l’action des élèves sur les objets du milieu est alors un moyen de comprendre la nature du projet d’enseignement et ses limites. Nous montrons ainsi que la co-construction de la référence dans l’action didactique conjointe entre professeur et élèves, n’est pas un processus également partagé en tout point de l’espace temps didactique de la classe. En ligne : https://revue-rdm.com/2008/construction-de-la-reference-et/ Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en didactique des mathématiques > 84 (12/2008) . - p. 319-378[article] Construction de la référence et milieux différentiels dans l’action conjointe du professeur et des élèves. Le cas d’un problème d’agrandissement de distances [texte imprimé] / Florence Ligozat, Auteur ; Francia Leutenegger, Auteur . - 2008 . - p. 319-378.
Langues : Français
in Recherches en didactique des mathématiques > 84 (12/2008) . - p. 319-378
Mots-clés : action conjointe contrat didactique milieu construction de la référence mesogenèse chronogenèse topogenèse proportionnalité agrandissement didactique ordinaire Résumé : Cette contribution propose une mise à l’épreuve empirique des catégories d’un modèle de l’action didactique conjointe entre professeur et élèves, élaboré dans le cadre des recherches comparatistes en didactique, afin d’étudier les caractéristiques du didactique ordinaire. En retravaillant le concept de contrat didactique, en terme d’intentions partagées et réciproques (intention d’enseigner / intention d’apprendre) autour d’un processus de co-construction d’une référence, par le professeur et les élèves, nous repérons les configurations d’objets, de règles d’action, de traits pertinents et de contradictions qui émergent dans les transactions didactiques. Nous observons alors comment ces objets peuvent ou non se constituer en un milieu pour apprendre, en regard de l’analyse a priori des enjeux de savoir potentiellement présents dans la situation, mais aussi en fonction des gestes que l’enseignant déploie pour assurer la progression du savoir dans la classe (techniques chronogénétiques et topogénétiques). En particulier, dans cette séance de travail mettant en jeu un problème de proportionnalité (grade 6), nous montrons comment deux élèves, qui collaborent à la résolution du problème, en viennent à travailler sur des milieux différents et comment le professeur ne peut valider et instituer l’une des techniques de résolution ainsi produite. L’observation fine de l’action des élèves sur les objets du milieu est alors un moyen de comprendre la nature du projet d’enseignement et ses limites. Nous montrons ainsi que la co-construction de la référence dans l’action didactique conjointe entre professeur et élèves, n’est pas un processus également partagé en tout point de l’espace temps didactique de la classe. En ligne : https://revue-rdm.com/2008/construction-de-la-reference-et/ Format de la ressource électronique : Texte intégral Les triangles semblables en classe de seconde : De l’enseignement aux apprentissages / Julie Horoks in Recherches en didactique des mathématiques, 84 (12/2008)
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Titre : Les triangles semblables en classe de seconde : De l’enseignement aux apprentissages Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Horoks, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 379-416 Langues : Français Mots-clés : triangles semblables pratique enseignante tâche activité déroulement contrôle Résumé : Ce travail porte sur la relation entre les contenus et le déroulement de l’enseignement des triangles semblables par le professeur de mathématiques en classe de seconde, et les apprentissages qui pourraient en découler chez ses élèves.Pour réaliser cette étude, nous analysons les séances portant sur le chapitre des triangles semblables dans cinq classes de seconde et les mettons en relation avec les résultats des élèves à un contrôle sur cette notion. En comparant les exercices du contrôle avec tous ceux qui ont pu être cherchés en classe précédemment au cours du chapitre, et en tenant compte des déroulements effectifs, nous essayons de comprendre comment et pourquoi les élèves échouent, ou réussissent, au contrôle. Cela nous amène à étudier les contenus mathématiques enseignés, mais aussi leur place dans les programmes scolaires et les manuels. Cette démarche nous a permis aussi de tirer des conclusions sur les régularités et les variations des pratiques enseignantes sur ce chapitre. En ligne : https://revue-rdm.com/2008/les-triangles-semblables-en-classe/ Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Recherches en didactique des mathématiques > 84 (12/2008) . - p. 379-416[article] Les triangles semblables en classe de seconde : De l’enseignement aux apprentissages [texte imprimé] / Julie Horoks, Auteur . - 2008 . - p. 379-416.
Langues : Français
in Recherches en didactique des mathématiques > 84 (12/2008) . - p. 379-416
Mots-clés : triangles semblables pratique enseignante tâche activité déroulement contrôle Résumé : Ce travail porte sur la relation entre les contenus et le déroulement de l’enseignement des triangles semblables par le professeur de mathématiques en classe de seconde, et les apprentissages qui pourraient en découler chez ses élèves.Pour réaliser cette étude, nous analysons les séances portant sur le chapitre des triangles semblables dans cinq classes de seconde et les mettons en relation avec les résultats des élèves à un contrôle sur cette notion. En comparant les exercices du contrôle avec tous ceux qui ont pu être cherchés en classe précédemment au cours du chapitre, et en tenant compte des déroulements effectifs, nous essayons de comprendre comment et pourquoi les élèves échouent, ou réussissent, au contrôle. Cela nous amène à étudier les contenus mathématiques enseignés, mais aussi leur place dans les programmes scolaires et les manuels. Cette démarche nous a permis aussi de tirer des conclusions sur les régularités et les variations des pratiques enseignantes sur ce chapitre. En ligne : https://revue-rdm.com/2008/les-triangles-semblables-en-classe/ Format de la ressource électronique : Texte intégral