[article] Titre : | Peinture et littérature face aux pratiques, gouts et savoirs culturels des élèves du second degré | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Marie-Sylvie Claude, Auteur | Année de publication : | 2017 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | peinture littérature construction du sens transfert de connaissances égalité des chances | Résumé : | Cet article s’interroge sur l’exercice que les programmes de français nomment lecture de la peinture, adaptation des exercices de lecture littéraire. D’après la recherche sur laquelle s’appuie cet article, les productions des élèves de troisième et de seconde seraient majoritairement plus proches des attendus des enseignants sur un tableau que sur un texte. La peinture, notamment celle qui en appelle à des conventions iconographiques, n’est pas en soi plus facile d’accès que la littérature et les enquêtes sociologiques montrent qu’elle n’est pas plus présente que la littérature dans les pratiques culturelles des élèves. Pourtant, la majorité de nos enquêtés déclarent se sentir plus familiers de la peinture que de la littérature et plus à même d’en construire le sens. Selon nous, ce gout déclaré, la volonté de le manifester et le sentiment d’y être compétent favorisent un engagement dans l’activité tel qu’à certaines conditions d’encadrement par l’enseignant, il est susceptible de produire des apprentissages bénéficiant à l’un et à l’autre des deux arts. | En ligne : | http://journals.openedition.org/pratiques/3577 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Pratiques (Metz) > 175-176 (12/2017)
[article] Peinture et littérature face aux pratiques, gouts et savoirs culturels des élèves du second degré [document électronique] / Marie-Sylvie Claude, Auteur . - 2017. Bibliogr. Langues : Français in Pratiques (Metz) > 175-176 (12/2017) Mots-clés : | peinture littérature construction du sens transfert de connaissances égalité des chances | Résumé : | Cet article s’interroge sur l’exercice que les programmes de français nomment lecture de la peinture, adaptation des exercices de lecture littéraire. D’après la recherche sur laquelle s’appuie cet article, les productions des élèves de troisième et de seconde seraient majoritairement plus proches des attendus des enseignants sur un tableau que sur un texte. La peinture, notamment celle qui en appelle à des conventions iconographiques, n’est pas en soi plus facile d’accès que la littérature et les enquêtes sociologiques montrent qu’elle n’est pas plus présente que la littérature dans les pratiques culturelles des élèves. Pourtant, la majorité de nos enquêtés déclarent se sentir plus familiers de la peinture que de la littérature et plus à même d’en construire le sens. Selon nous, ce gout déclaré, la volonté de le manifester et le sentiment d’y être compétent favorisent un engagement dans l’activité tel qu’à certaines conditions d’encadrement par l’enseignant, il est susceptible de produire des apprentissages bénéficiant à l’un et à l’autre des deux arts. | En ligne : | http://journals.openedition.org/pratiques/3577 | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
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