[article] Titre : | Les activités de verbalisation dans les formations d’enseignants | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Elisabeth Nonnon, Auteur | Année de publication : | 2017 | Article en page(s) : | p. 12-31 | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | verbalisation formation des enseignants activité de langage temporalité conceptualisation congruence | Résumé : | Cet article aborde la question de la verbalisation en la situant d’emblée dans un ensemble de situations contextualisées et singulières porteuses de nombreux enjeux, de contraintes et de traditions. Pour l’auteure, la verbalisation est polyphonique et pluriréférentielle. Soutenant le côté fastidieux et lourd des dispositifs tels que l’autoconfrontation, elle s’attache au langage dans ses dimensions épistémique, pragmatique et identitaire, qui selon elle doivent s’articuler dans la formation. Elle cherche à clarifier ce qu’on entend par verbalisation comme un exercice de mise en mots porteur de tensions, de décalages entre l’expérience et la pensée, révélateur d’une résistance avec le langage lui-même, avec l’interlocuteur, avec le travail réel. Pour elle, la verbalisation ne va pas de soi, mais elle peut sans doute ouvrir un espace potentiel contribuant à la formation. | En ligne : | http://revuedeshep.ch/pdf/HS2/HS2-02-Nonnon.pdf | Format de la ressource électronique : | Texte intégral | in Formation et pratiques d'enseignement en questions > HS N° 2 (2017) . - p. 12-31
[article] Les activités de verbalisation dans les formations d’enseignants [document électronique] / Elisabeth Nonnon, Auteur . - 2017 . - p. 12-31. Bibliogr. Langues : Français in Formation et pratiques d'enseignement en questions > HS N° 2 (2017) . - p. 12-31 Mots-clés : | verbalisation formation des enseignants activité de langage temporalité conceptualisation congruence | Résumé : | Cet article aborde la question de la verbalisation en la situant d’emblée dans un ensemble de situations contextualisées et singulières porteuses de nombreux enjeux, de contraintes et de traditions. Pour l’auteure, la verbalisation est polyphonique et pluriréférentielle. Soutenant le côté fastidieux et lourd des dispositifs tels que l’autoconfrontation, elle s’attache au langage dans ses dimensions épistémique, pragmatique et identitaire, qui selon elle doivent s’articuler dans la formation. Elle cherche à clarifier ce qu’on entend par verbalisation comme un exercice de mise en mots porteur de tensions, de décalages entre l’expérience et la pensée, révélateur d’une résistance avec le langage lui-même, avec l’interlocuteur, avec le travail réel. Pour elle, la verbalisation ne va pas de soi, mais elle peut sans doute ouvrir un espace potentiel contribuant à la formation. | En ligne : | http://revuedeshep.ch/pdf/HS2/HS2-02-Nonnon.pdf | Format de la ressource électronique : | Texte intégral |
|