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Extensions lexicales et figures vives : une frontière essentielle / Michèle Prandi in Pratiques (Metz), 159-160 (12/2013)
[article]
Titre : Extensions lexicales et figures vives : une frontière essentielle Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle Prandi, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 55-68 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : extension lexicale figure métaphore vive teneur foyer pression conceptuelle Résumé : La plupart des extensions figurées du signifié des lexèmes entretiennent une relation transparente, métaphorique ou métonymique, avec leur signifié primitif ; la plupart des signifiés idiomatiques des expressions figées entretiennent une relation analogue avec leur signifié compositionnel. Étant donné que les stratégies d’extension lexicale sont les mêmes qui sont à l’oeuvre dans l’interprétation des figures vives, on pense normalement que les extensions de signifié des lexèmes, comme les signifiés idiomatiques des expressions figées, résultent de la cristallisation de figures autrefois vives. L’hypothèse discutée dans cet essai remet en question cette idée en ce qui concerne la métaphore. En présence de métonymies, tant l’extension que la figure mettent sous pression le foyer. En présence de métaphores, en revanche, cette continuité est brisée. Si l’extension lexicale met sous pression le foyer, la métaphore vive, projective, déplace la pression sur la teneur, dont elle redessine le profil conceptuel. Sur le fond de cette prémisse, l’idée d’une carrière de la métonymie, de la figure à l’extension lexicale, est tout à fait plausible. L’idée d’une carrière semblable de la métaphore, par contre, comporte un renversement de la pression conceptuelle. Si elle n’est pas exclue a priori, la possibilité d’un tel renversement devrait être documentée par des données empiriques tirée de l’histoire des langues. En ligne : http://journals.openedition.org/pratiques/2826 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Pratiques (Metz) > 159-160 (12/2013) . - p. 55-68[article] Extensions lexicales et figures vives : une frontière essentielle [texte imprimé] / Michèle Prandi, Auteur . - 2013 . - p. 55-68.
Bibliogr.
Langues : Français
in Pratiques (Metz) > 159-160 (12/2013) . - p. 55-68
Mots-clés : extension lexicale figure métaphore vive teneur foyer pression conceptuelle Résumé : La plupart des extensions figurées du signifié des lexèmes entretiennent une relation transparente, métaphorique ou métonymique, avec leur signifié primitif ; la plupart des signifiés idiomatiques des expressions figées entretiennent une relation analogue avec leur signifié compositionnel. Étant donné que les stratégies d’extension lexicale sont les mêmes qui sont à l’oeuvre dans l’interprétation des figures vives, on pense normalement que les extensions de signifié des lexèmes, comme les signifiés idiomatiques des expressions figées, résultent de la cristallisation de figures autrefois vives. L’hypothèse discutée dans cet essai remet en question cette idée en ce qui concerne la métaphore. En présence de métonymies, tant l’extension que la figure mettent sous pression le foyer. En présence de métaphores, en revanche, cette continuité est brisée. Si l’extension lexicale met sous pression le foyer, la métaphore vive, projective, déplace la pression sur la teneur, dont elle redessine le profil conceptuel. Sur le fond de cette prémisse, l’idée d’une carrière de la métonymie, de la figure à l’extension lexicale, est tout à fait plausible. L’idée d’une carrière semblable de la métaphore, par contre, comporte un renversement de la pression conceptuelle. Si elle n’est pas exclue a priori, la possibilité d’un tel renversement devrait être documentée par des données empiriques tirée de l’histoire des langues. En ligne : http://journals.openedition.org/pratiques/2826 Format de la ressource électronique : Texte intégral Lecture longue en classe d'anglais / Michèle Prandi in Les langues modernes, 2010-3 (07/2010)
[article]
Titre : Lecture longue en classe d'anglais Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle Prandi, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 54-61 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : oeuvre littéraire plaisir lecture lecture longue pratiques de classe création Résumé : La Spécialité Anglais Langue de Complément du Baccalauréat Littéraire comporte l’étude d’une oeuvre littéraire. Les élèves ayant choisi cette option peuvent donc, souvent pour la première fois, faire l’expérience d’une lecture longue d’un roman, d’une pièce de théâtre ou d’un recueil de poèmes. Face à un projet jugé souvent ambitieux aux yeux des élèves, l’entrée dans l’oeuvre par la création précède et facilite la lecture suivie qui sera ensuite exploitée au travers d’activités mêlant langue écrite et orale, animant le commentaire littéraire. Approche individuelle ou par le travail de groupe, ce travail est centré sur le plaisir de lire.
in Les langues modernes > 2010-3 (07/2010) . - p. 54-61[article] Lecture longue en classe d'anglais [texte imprimé] / Michèle Prandi, Auteur . - 2010 . - p. 54-61.
Bibliogr.
Langues : Français
in Les langues modernes > 2010-3 (07/2010) . - p. 54-61
Mots-clés : oeuvre littéraire plaisir lecture lecture longue pratiques de classe création Résumé : La Spécialité Anglais Langue de Complément du Baccalauréat Littéraire comporte l’étude d’une oeuvre littéraire. Les élèves ayant choisi cette option peuvent donc, souvent pour la première fois, faire l’expérience d’une lecture longue d’un roman, d’une pièce de théâtre ou d’un recueil de poèmes. Face à un projet jugé souvent ambitieux aux yeux des élèves, l’entrée dans l’oeuvre par la création précède et facilite la lecture suivie qui sera ensuite exploitée au travers d’activités mêlant langue écrite et orale, animant le commentaire littéraire. Approche individuelle ou par le travail de groupe, ce travail est centré sur le plaisir de lire.