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Laïcité et islamisme en Turquie aujourd’hui / Dogan Duman in Revue internationale d'éducation (Sèvres), 036 (09/2004)
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[article]
Titre : Laïcité et islamisme en Turquie aujourd’hui Type de document : document électronique Auteurs : Dogan Duman, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 135-143 Langues : Français Mots-clés : communisme constitution dispense de cours école confessionnelle école privée école publique enseignement obligatoire juridiction liberté de l’enseignant liberté d’expression programme d’études religion système éducatif Turquie Résumé : En 1924, voulant rompre avec le régime ottoman, les dirigeants de la république turque ont confié le monopole de l’instruction publique au ministère de l’Éducation, fermant alors les institutions islamiques d’éducation et plaçant l’enseignement religieux sous le contrôle strict de l’État. Selon les époques ou la succession des régimes politiques, des cours de religion obligatoires ou optionnels ont été intégrés aux programmes scolaires. Cet enseignement d’un islam modéré apparaissait comme un moyen de renforcer l’unité nationale et de combattre certaines idéologies en associant culture religieuse et enseignement de la morale. Cependant le contenu de cet enseignement, non contrôlé par le gouvernement laïc, a favorisé le retour d’un islam intégriste et la montée d’un islamisme politique qui va à l’encontre du principe de laïcité et de la prise en compte des minorités. Ce retour du religieux, que l’État croyait maîtriser, est accru par la réouverture des écoles religieuses et coraniques. En ligne : http://journals.openedition.org/ries/1511 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Revue internationale d'éducation (Sèvres) > 036 (09/2004) . - p. 135-143[article] Laïcité et islamisme en Turquie aujourd’hui [document électronique] / Dogan Duman, Auteur . - 2004 . - p. 135-143.
Langues : Français
in Revue internationale d'éducation (Sèvres) > 036 (09/2004) . - p. 135-143
Mots-clés : communisme constitution dispense de cours école confessionnelle école privée école publique enseignement obligatoire juridiction liberté de l’enseignant liberté d’expression programme d’études religion système éducatif Turquie Résumé : En 1924, voulant rompre avec le régime ottoman, les dirigeants de la république turque ont confié le monopole de l’instruction publique au ministère de l’Éducation, fermant alors les institutions islamiques d’éducation et plaçant l’enseignement religieux sous le contrôle strict de l’État. Selon les époques ou la succession des régimes politiques, des cours de religion obligatoires ou optionnels ont été intégrés aux programmes scolaires. Cet enseignement d’un islam modéré apparaissait comme un moyen de renforcer l’unité nationale et de combattre certaines idéologies en associant culture religieuse et enseignement de la morale. Cependant le contenu de cet enseignement, non contrôlé par le gouvernement laïc, a favorisé le retour d’un islam intégriste et la montée d’un islamisme politique qui va à l’encontre du principe de laïcité et de la prise en compte des minorités. Ce retour du religieux, que l’État croyait maîtriser, est accru par la réouverture des écoles religieuses et coraniques. En ligne : http://journals.openedition.org/ries/1511 Format de la ressource électronique : Texte intégral Le religieux et l’école en France : table ronde / André Blandin in Revue internationale d'éducation (Sèvres), 036 (09/2004)
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[article]
Titre : Le religieux et l’école en France : table ronde Type de document : document électronique Auteurs : André Blandin, Auteur ; André Legrand ; Philippe Le Guillou Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 49-70 Note générale : Autres auteurs : Mark Sherringham et Jean-Paul Willaime Langues : Français Mots-clés : conflit social constitution dispense de cours école confessionnelle école privée école publique Église, enseignement laïc établissement public juridiction liberté de l’enseignant liberté d’expression programme d’études religion système scolaire voile France Résumé : Une table ronde réunit les analyses et les points de vue de plusieurs experts afin d’envisager l’ensemble des problèmes juridiques, institutionnels et d’enseignement posés par la présence du religieux à l’école. Quatre hypothèses de départ sont posées : ces problèmes se situent dans une tension entre l’égalité et la liberté ; les manifestations actuelles du religieux à l’école relèvent davantage du communautarisme ou d’affirmations multiples d’identité ; est-il fondé d’aborder le religieux en se référant sans cesse à la laïcité ? La France est-elle toujours une exception ? Des interventions portant sur le droit d’expression religieuse, entre évolution et continuité ; le "caractère propre" des établissements privés sous contrat ; la sociologie du fait religieux en France ; le fait religieux en classe ; laïcité et connaissance du fait religieux dans la formation des enseignants précèdent un débat organisé autour des questions "que dire à l’école, comment le dire ?" En ligne : http://journals.openedition.org/ries/1453 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Revue internationale d'éducation (Sèvres) > 036 (09/2004) . - p. 49-70[article] Le religieux et l’école en France : table ronde [document électronique] / André Blandin, Auteur ; André Legrand ; Philippe Le Guillou . - 2004 . - p. 49-70.
Autres auteurs : Mark Sherringham et Jean-Paul Willaime
Langues : Français
in Revue internationale d'éducation (Sèvres) > 036 (09/2004) . - p. 49-70
Mots-clés : conflit social constitution dispense de cours école confessionnelle école privée école publique Église, enseignement laïc établissement public juridiction liberté de l’enseignant liberté d’expression programme d’études religion système scolaire voile France Résumé : Une table ronde réunit les analyses et les points de vue de plusieurs experts afin d’envisager l’ensemble des problèmes juridiques, institutionnels et d’enseignement posés par la présence du religieux à l’école. Quatre hypothèses de départ sont posées : ces problèmes se situent dans une tension entre l’égalité et la liberté ; les manifestations actuelles du religieux à l’école relèvent davantage du communautarisme ou d’affirmations multiples d’identité ; est-il fondé d’aborder le religieux en se référant sans cesse à la laïcité ? La France est-elle toujours une exception ? Des interventions portant sur le droit d’expression religieuse, entre évolution et continuité ; le "caractère propre" des établissements privés sous contrat ; la sociologie du fait religieux en France ; le fait religieux en classe ; laïcité et connaissance du fait religieux dans la formation des enseignants précèdent un débat organisé autour des questions "que dire à l’école, comment le dire ?" En ligne : http://journals.openedition.org/ries/1453 Format de la ressource électronique : Texte intégral Religion(s) et école(s) en Israël / Denis Charbit in Revue internationale d'éducation (Sèvres), 036 (09/2004)
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[article]
Titre : Religion(s) et école(s) en Israël Type de document : document électronique Auteurs : Denis Charbit, Auteur ; Myriam Darmoni, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 85-100 Langues : Français Mots-clés : constitution dispense de cours école confessionnelle école privée école publique éducation religieuse judaïsme minorité religieuse religion système éducatif Israël Résumé : Officiellement défini comme "État juif et démocratique", en situation de conflit ouvert ou latent avec ses voisins arabes depuis sa création, situé dans un espace où le sacré nourrit le conflit plus qu’il ne l’apaise, habité par des populations conscientes de leur identité culturelle et religieuse spécifique, l’État d’Israël ne pouvait exclure de l’École publique la question religieuse sans heurter de front des sensibilités et des convictions solidement enracinées. Aussi, outre l’existence de réseaux confessionnels privés subventionnés par l’État, le ministère de l’Éducation propose plusieurs secteurs publics conçus en fonction du type d’intégration du religieux dans les programmes : une École arabo-musulmane ; une école hébraïque à caractère juif religieux ; une école hébraïque à caractère juif laïque. Loin d’être réductible à une dichotomie bipolaire entre le tout-religieux et un programme minimum, on assiste aujourd’hui à un très large éventail de formes intermédiaires. Celles-ci traduisent le déclin de l’idéologie dominante à vocation intégratrice et le renoncement de l’État à favoriser une École en ce sens, fondée sur un consensus qu’élaboreraient toutes les familles spirituelles et culturelles d’Israël. Le corps social étant fragmenté en communautés et en classes, chacune d’elles invoque le droit à la différence, voire le multiculturalisme, pour revendiquer un type d’École correspondant à son image et voué à sa stricte reproduction. En ligne : http://journals.openedition.org/ries/1494 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Revue internationale d'éducation (Sèvres) > 036 (09/2004) . - p. 85-100[article] Religion(s) et école(s) en Israël [document électronique] / Denis Charbit, Auteur ; Myriam Darmoni, Auteur . - 2004 . - p. 85-100.
Langues : Français
in Revue internationale d'éducation (Sèvres) > 036 (09/2004) . - p. 85-100
Mots-clés : constitution dispense de cours école confessionnelle école privée école publique éducation religieuse judaïsme minorité religieuse religion système éducatif Israël Résumé : Officiellement défini comme "État juif et démocratique", en situation de conflit ouvert ou latent avec ses voisins arabes depuis sa création, situé dans un espace où le sacré nourrit le conflit plus qu’il ne l’apaise, habité par des populations conscientes de leur identité culturelle et religieuse spécifique, l’État d’Israël ne pouvait exclure de l’École publique la question religieuse sans heurter de front des sensibilités et des convictions solidement enracinées. Aussi, outre l’existence de réseaux confessionnels privés subventionnés par l’État, le ministère de l’Éducation propose plusieurs secteurs publics conçus en fonction du type d’intégration du religieux dans les programmes : une École arabo-musulmane ; une école hébraïque à caractère juif religieux ; une école hébraïque à caractère juif laïque. Loin d’être réductible à une dichotomie bipolaire entre le tout-religieux et un programme minimum, on assiste aujourd’hui à un très large éventail de formes intermédiaires. Celles-ci traduisent le déclin de l’idéologie dominante à vocation intégratrice et le renoncement de l’État à favoriser une École en ce sens, fondée sur un consensus qu’élaboreraient toutes les familles spirituelles et culturelles d’Israël. Le corps social étant fragmenté en communautés et en classes, chacune d’elles invoque le droit à la différence, voire le multiculturalisme, pour revendiquer un type d’École correspondant à son image et voué à sa stricte reproduction. En ligne : http://journals.openedition.org/ries/1494 Format de la ressource électronique : Texte intégral