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150 - 2018 - Pour une histoire renouvelée des élèves (XVIe-XXIe siècles) (Bulletin de Histoire de l'éducation (Paris. 1978)) / Jean-François Condette
[n° ou bulletin]
Titre : 150 - 2018 - Pour une histoire renouvelée des élèves (XVIe-XXIe siècles) : Volume 1 : approches historiographiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Condette, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Castagnet, Véronique, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2018 Importance : 204 p. Prix : 18,00€ Langues : Français [n° ou bulletin] 150 - 2018 - Pour une histoire renouvelée des élèves (XVIe-XXIe siècles) : Volume 1 : approches historiographiques [texte imprimé] / Jean-François Condette, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Castagnet, Véronique, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2018 . - 204 p.
18,00€
Langues : FrançaisContient
- L’histoire des élèves en France du XVIe au XVIIIe siècle : des acteurs dans l’ombre des institutions scolaires / Castagnet, Véronique in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 150 (2018)
- Pour une histoire renouvelée des élèves (France, XIXe-XXIe siècles). Bilan historiographique et pistes de recherche / Jean-François Condette in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 150 (2018)
- Écrire l’histoire des élèves en Italie aux XIXe et XXe siècles / Alberto Barausse in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 150 (2018)
- Les élèves, des acteurs en marge de l’histoire de l’éducation dans le monde germanophone (XIXe-XXe siècles) / Thomas Ruoss in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 150 (2018)
- L’histoire des élèves aux États-Unis (XIXe siècle-première moitié du XXe siècle) : enjeux et perspectives d’un sous-ensemble historiographique en expansion / Sébastien-Akira Alix in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 150 (2018)
Écrire l'histoire des élèves : problèmes de sources et de méthodes / Jean-François Condette in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 151 (2019)
[article]
Titre : Écrire l'histoire des élèves : problèmes de sources et de méthodes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Condette, Auteur ; Véronique Castagnet-Lars, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 9-25 Langues : Français Mots-clés : mémoire histoire des élèves source souvenir statistique méthodologie enquête Résumé : Les sources qui rendent possible une histoire renouvelée des élèves ainsi que leur traitement scientifique sont au coeur du présent numéro. Les cinq articles qui le composent couvrent ensemble une période étendue de l'Ancien Régime au XXe siècle. On y voit l'historien chercher la trace des élèves et de leurs expériences au travers de sources diversifiées, puis travailler, selon ses approches spécifiques, sur ces matériaux rassemblés. Sources archivistiques, sources imprimées et enquêtes statistiques sont ici privilégiées, mais il existe bien évidemment d'autres approches tout aussi légitimes, fondées sur l'enquête orale ou l’usage des représentations iconographiques et filmiques. Ce numéro propose ainsi des études de cas précises et doit donc s'envisager comme la suite et l'illustration de la précédente livraison de la revue (no 150) consacrée à un bilan historiographique international. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/4334 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 151 (2019) . - p. 9-25[article] Écrire l'histoire des élèves : problèmes de sources et de méthodes [texte imprimé] / Jean-François Condette, Auteur ; Véronique Castagnet-Lars, Auteur . - 2019 . - p. 9-25.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 151 (2019) . - p. 9-25
Mots-clés : mémoire histoire des élèves source souvenir statistique méthodologie enquête Résumé : Les sources qui rendent possible une histoire renouvelée des élèves ainsi que leur traitement scientifique sont au coeur du présent numéro. Les cinq articles qui le composent couvrent ensemble une période étendue de l'Ancien Régime au XXe siècle. On y voit l'historien chercher la trace des élèves et de leurs expériences au travers de sources diversifiées, puis travailler, selon ses approches spécifiques, sur ces matériaux rassemblés. Sources archivistiques, sources imprimées et enquêtes statistiques sont ici privilégiées, mais il existe bien évidemment d'autres approches tout aussi légitimes, fondées sur l'enquête orale ou l’usage des représentations iconographiques et filmiques. Ce numéro propose ainsi des études de cas précises et doit donc s'envisager comme la suite et l'illustration de la précédente livraison de la revue (no 150) consacrée à un bilan historiographique international. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/4334 Format de la ressource électronique : Texte intégral Les enquêtes de terrain de Georges Lefèvre (1899-1910) / Jean-François Condette in Carrefours de l'éducation, 053 (06/2022)
[article]
Titre : Les enquêtes de terrain de Georges Lefèvre (1899-1910) : Un enseignant de philosophie, pionnier des sciences de l’éducation dans la France du nord Type de document : document électronique Auteurs : Jean-François Condette, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 71-91 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : histoire de l'éducation université enseignement sciences de l'éducation enquête Résumé : Georges Lefèvre (1862-1929), avec quelques autres figures comme Charles Chabot à Lyon, est un des pionniers de l’enracinement des enseignements et des recherches universitaires dans ce qui s’appelle à l’époque la science de l’éducation. À la faculté des lettres de Lille, c’est lui qui incarne temporairement le développement de ces approches. Boursier conquérant de la jeune République, agrégé de philosophie (1887) et docteur (1895), il enseigne pendant quatorze ans dans le secondaire (lycée de Laon) puis à la faculté des lettres de Douai comme maître de conférences en philosophie (1896) puis comme titulaire de la nouvelle chaire créée pour lui de la science de l’éducation (1899-1913) avant de devenir professeur de philosophie. Il fonde en 1898 un institut de pédagogie et attire vers la faculté de nombreux enseignants et inspecteurs (en particulier du primaire). En 1903, il est élu doyen de la faculté et le demeure jusqu’à son décès en 1929. Il ne s’agit pas ici de revenir en détail sur ce parcours d’un universitaire de la Troisième République mais d’insister sur quatre enquêtes de terrain qu’il dirige entre 1899 et 1910 en lien avec les écoles, collèges ou lycées de l’académie de Lille pour en voir les finalités, les résultats et leurs limites, montrant dans le même temps ce souci du « terrain » qui apparaît novateur dans ce champ éducatif. En ligne : https://www.cairn.info/revue-carrefours-de-l-education-2022-1-page-71.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral (Hors FDE, accès via le Portail documentaire - BIU)
in Carrefours de l'éducation > 053 (06/2022) . - p. 71-91[article] Les enquêtes de terrain de Georges Lefèvre (1899-1910) : Un enseignant de philosophie, pionnier des sciences de l’éducation dans la France du nord [document électronique] / Jean-François Condette, Auteur . - 2022 . - p. 71-91.
Bibliogr.
Langues : Français
in Carrefours de l'éducation > 053 (06/2022) . - p. 71-91
Mots-clés : histoire de l'éducation université enseignement sciences de l'éducation enquête Résumé : Georges Lefèvre (1862-1929), avec quelques autres figures comme Charles Chabot à Lyon, est un des pionniers de l’enracinement des enseignements et des recherches universitaires dans ce qui s’appelle à l’époque la science de l’éducation. À la faculté des lettres de Lille, c’est lui qui incarne temporairement le développement de ces approches. Boursier conquérant de la jeune République, agrégé de philosophie (1887) et docteur (1895), il enseigne pendant quatorze ans dans le secondaire (lycée de Laon) puis à la faculté des lettres de Douai comme maître de conférences en philosophie (1896) puis comme titulaire de la nouvelle chaire créée pour lui de la science de l’éducation (1899-1913) avant de devenir professeur de philosophie. Il fonde en 1898 un institut de pédagogie et attire vers la faculté de nombreux enseignants et inspecteurs (en particulier du primaire). En 1903, il est élu doyen de la faculté et le demeure jusqu’à son décès en 1929. Il ne s’agit pas ici de revenir en détail sur ce parcours d’un universitaire de la Troisième République mais d’insister sur quatre enquêtes de terrain qu’il dirige entre 1899 et 1910 en lien avec les écoles, collèges ou lycées de l’académie de Lille pour en voir les finalités, les résultats et leurs limites, montrant dans le même temps ce souci du « terrain » qui apparaît novateur dans ce champ éducatif. En ligne : https://www.cairn.info/revue-carrefours-de-l-education-2022-1-page-71.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral (Hors FDE, accès via le Portail documentaire - BIU) Entre mesure de l'activité scientifique par les pairs et contrôle institutionnel / Jean-François Condette in Spirale (Lille), 49 (01/2012)
[article]
Titre : Entre mesure de l'activité scientifique par les pairs et contrôle institutionnel : L'évaluation des enseignants-chercheurs des facultés des lettres sous la IIIe République (1870-1940) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Condette, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 83-105 Note générale : Notes, Résumé et mots clés en anglais Langues : Français Mots-clés : évaluation des enseignants faculté des lettres recherche recteur doyen carrière enseignante publication Troisième République : 1870-1940 filière lettres Résumé : Tout au long du XIXe siècle, l’évaluation des enseignants du supérieur hésite entre contrôle étatique des hommes et évaluation par les pairs des aptitudes enseignantes et de l’activité de recherche. La IIIème République, malgré ses nombreuses réformes, ne révolutionne pas les modalités d’évaluation, même si s’affirme le poids croissant de la recherche publiée. Dans le recrutement des enseignants des facultés des lettres, le poids décisionnel du ministère demeure important, même s’il est modéré pour les chaires, par les propositions faites par le conseil de la faculté. Inspecteurs généraux jusqu’en 1914, recteurs et doyens tout au long de la période, évaluent les enseignants des facultés. Il n’en demeure pas moins que cette évaluation n’a que peu d’effets sur les titulaires ne cherchant pas à muter ou à obtenir une promotion. Pour les autres, c’est l’activité de recherche publiée qui devient progressivement le critère déterminant de l’évaluation et de la possible promotion et cette activité est d’abord évaluée par la communauté des pairs. En ligne : http://spirale-edu-revue.fr/IMG/pdf/spi_49-5_condette_.pdf Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Spirale (Lille) > 49 (01/2012) . - p. 83-105[article] Entre mesure de l'activité scientifique par les pairs et contrôle institutionnel : L'évaluation des enseignants-chercheurs des facultés des lettres sous la IIIe République (1870-1940) [texte imprimé] / Jean-François Condette, Auteur . - 2012 . - p. 83-105.
Notes, Résumé et mots clés en anglais
Langues : Français
in Spirale (Lille) > 49 (01/2012) . - p. 83-105
Mots-clés : évaluation des enseignants faculté des lettres recherche recteur doyen carrière enseignante publication Troisième République : 1870-1940 filière lettres Résumé : Tout au long du XIXe siècle, l’évaluation des enseignants du supérieur hésite entre contrôle étatique des hommes et évaluation par les pairs des aptitudes enseignantes et de l’activité de recherche. La IIIème République, malgré ses nombreuses réformes, ne révolutionne pas les modalités d’évaluation, même si s’affirme le poids croissant de la recherche publiée. Dans le recrutement des enseignants des facultés des lettres, le poids décisionnel du ministère demeure important, même s’il est modéré pour les chaires, par les propositions faites par le conseil de la faculté. Inspecteurs généraux jusqu’en 1914, recteurs et doyens tout au long de la période, évaluent les enseignants des facultés. Il n’en demeure pas moins que cette évaluation n’a que peu d’effets sur les titulaires ne cherchant pas à muter ou à obtenir une promotion. Pour les autres, c’est l’activité de recherche publiée qui devient progressivement le critère déterminant de l’évaluation et de la possible promotion et cette activité est d’abord évaluée par la communauté des pairs. En ligne : http://spirale-edu-revue.fr/IMG/pdf/spi_49-5_condette_.pdf Format de la ressource électronique : Texte intégral Pour une histoire renouvelée des élèves (France, XIXe-XXIe siècles). Bilan historiographique et pistes de recherche / Jean-François Condette in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 150 (2018)
[article]
Titre : Pour une histoire renouvelée des élèves (France, XIXe-XXIe siècles). Bilan historiographique et pistes de recherche Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Condette, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 73-124 Langues : Français Mots-clés : historiographie histoire des élèves France 19e siècle 20e siècle sociologie des élèves parcours des élèves Résumé : L’article propose une mise en perspective des travaux existants sur l’histoire des élèves en France aux XIXe–XXIe siècles. Cet acteur scolaire central qu’est l’élève est certainement celui qui a été le moins travaillé par les historiens, à la différence des enseignants et des administrateurs. Il faut dire que les sources sur les élèves sont souvent indirectes – rédigées par des adultes pour des adultes – et lacunaires, même si elles existent bien. Sur ce vécu d’élève, qui progressivement devient une expérience pour tous et toutes, le poids des représentations, par l’importance des récits littéraires mais aussi des récits autobiographiques, des souvenirs et des mémoires, est fort important. Si ces sources sont utiles à l’historien, elles sont cependant à mettre en série et à confronter aux sources archivistiques, pour pouvoir être réellement signifiantes. Il en va de même des images véhiculées par la photographie ou le cinéma, alors que les textes réglementaires (lois, décrets, circulaires) et les manuels scolaires donnent à voir un élève prescrit et de nouveau imaginé par les adultes. Dans l’histoire des élèves, l’approche statistique est longtemps dominante, qui fait faire d’importants progrès à notre connaissance des phénomènes liés à la scolarisation et à l’alphabétisation, à la massification et à la mesure de la démocratisation, mais qui est aussi fortement liée à la volonté d’une démonstration sociologique de la fabrication des inégalités sociales et culturelles. L’élève y devient alors une unité de compte dans une démonstration statistique qui veut mesurer des phénomènes de grande ampleur. On peut cependant relever un enrichissement des approches à partir des années 1990. Les travaux de sociologie et des sciences de l’éducation sur « le métier d’élève » invitent à redécouvrir le point de vue des élèves eux-mêmes. Les historiens insistent sur la pluralité des expériences scolaires selon les filières, les institutions et relisent l’histoire des élèves au prisme du genre. À ce niveau, il importe de travailler à un inventaire détaillé des écrits du for privé et des travaux d’élèves, mais aussi de retrouver les sources permettant de retracer les parcours des élèves, s’intéressant à la fois à leurs origines sociales et à l’usage que font les familles des réseaux d’établissements dans un espace géographique donné. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/4206 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 150 (2018) . - p. 73-124[article] Pour une histoire renouvelée des élèves (France, XIXe-XXIe siècles). Bilan historiographique et pistes de recherche [texte imprimé] / Jean-François Condette, Auteur . - 2018 . - p. 73-124.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 150 (2018) . - p. 73-124
Mots-clés : historiographie histoire des élèves France 19e siècle 20e siècle sociologie des élèves parcours des élèves Résumé : L’article propose une mise en perspective des travaux existants sur l’histoire des élèves en France aux XIXe–XXIe siècles. Cet acteur scolaire central qu’est l’élève est certainement celui qui a été le moins travaillé par les historiens, à la différence des enseignants et des administrateurs. Il faut dire que les sources sur les élèves sont souvent indirectes – rédigées par des adultes pour des adultes – et lacunaires, même si elles existent bien. Sur ce vécu d’élève, qui progressivement devient une expérience pour tous et toutes, le poids des représentations, par l’importance des récits littéraires mais aussi des récits autobiographiques, des souvenirs et des mémoires, est fort important. Si ces sources sont utiles à l’historien, elles sont cependant à mettre en série et à confronter aux sources archivistiques, pour pouvoir être réellement signifiantes. Il en va de même des images véhiculées par la photographie ou le cinéma, alors que les textes réglementaires (lois, décrets, circulaires) et les manuels scolaires donnent à voir un élève prescrit et de nouveau imaginé par les adultes. Dans l’histoire des élèves, l’approche statistique est longtemps dominante, qui fait faire d’importants progrès à notre connaissance des phénomènes liés à la scolarisation et à l’alphabétisation, à la massification et à la mesure de la démocratisation, mais qui est aussi fortement liée à la volonté d’une démonstration sociologique de la fabrication des inégalités sociales et culturelles. L’élève y devient alors une unité de compte dans une démonstration statistique qui veut mesurer des phénomènes de grande ampleur. On peut cependant relever un enrichissement des approches à partir des années 1990. Les travaux de sociologie et des sciences de l’éducation sur « le métier d’élève » invitent à redécouvrir le point de vue des élèves eux-mêmes. Les historiens insistent sur la pluralité des expériences scolaires selon les filières, les institutions et relisent l’histoire des élèves au prisme du genre. À ce niveau, il importe de travailler à un inventaire détaillé des écrits du for privé et des travaux d’élèves, mais aussi de retrouver les sources permettant de retracer les parcours des élèves, s’intéressant à la fois à leurs origines sociales et à l’usage que font les familles des réseaux d’établissements dans un espace géographique donné. En ligne : https://journals.openedition.org/histoire-education/4206 Format de la ressource électronique : Texte intégral Les loisirs dirigés dans les collèges et les lycées (1937-1939) : stimuler l'innovation pédagogique locale en attendant la réforme éducative / Jean-François Condette in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 129 (01/2011)
PermalinkLes loisirs dirigés du Front populaire / Jean-François Condette in Cahiers pédagogiques (Revue), 502 (01/2013)
PermalinkPermalinkProblématique, contextualisation / Aziz Jellab ; Gérald Chaix ; Jean-François Condette in Administration et Éducation, 175 (2022-3) (09/2022)
PermalinkQualité native, éloge de l'expérience ou nécessaire formation professionnelle ? / Jean-François Condette in Spirale (Lille), 46 (10/2010)
PermalinkRéformer l’Enseignement supérieur français. L’action du recteur d’académie (1896-1968) / Jean-François Condette in Carrefours de l'éducation, 041 (06/2016)
Permalink"Traîtres fatigués" ou élites administratives ? Une recherche en cours sur les recteurs d'académie de 1809 à 1940 / Jean-François Condette in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 97 (01/2003)
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