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Etude de l'effet du contexte pédagogique sur l'écriture des graphèmes composés en classe de CP / Dominique Hannouz in Spirale (Lille), 44 (10/2009)
[article]
Titre : Etude de l'effet du contexte pédagogique sur l'écriture des graphèmes composés en classe de CP Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Hannouz, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 101-111 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : contexte pédagogique graphème composé écriture inventée Résumé : Cette étude prolonge une recherche antérieure et a pour but d’analyser l’impact en première année d’enseignement obligatoire de deux présentations contrastée de la langue écrite sur un point précis : le codage de graphèmes composés. Elle se déroule dans une classe "langage entier" et une classe "syllabique" avec 12enfants les plus en difficulté au niveau de l’apprentissage de la lecture-écriture. La première hypothèse est que, dans la classe "syllabique", l’enseignement progressif du code phonographique partant d’unités graphiques simples (un graphème) pour aller vers des unités graphiques composées, peut amener certains enfants à avoir une vision "unitaire" de l’écrit (un phonème = un graphème). La deuxième hypothèse est que, dans la classe "langage entier", les enfants découvrant en même temps les unités graphiques simples et composées peuvent fournir plus de codages "pluriels" que ceux de la classe "syllabique". Enfin, la dernière hypothèse repose sur l’exactitude des graphèmes pluriels utilisés. En ligne : http://spirale-edu-revue.fr/IMG/pdf/6_hannouz.pdf Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Spirale (Lille) > 44 (10/2009) . - p. 101-111[article] Etude de l'effet du contexte pédagogique sur l'écriture des graphèmes composés en classe de CP [texte imprimé] / Dominique Hannouz, Auteur . - 2009 . - p. 101-111.
Bibliogr.
Langues : Français
in Spirale (Lille) > 44 (10/2009) . - p. 101-111
Mots-clés : contexte pédagogique graphème composé écriture inventée Résumé : Cette étude prolonge une recherche antérieure et a pour but d’analyser l’impact en première année d’enseignement obligatoire de deux présentations contrastée de la langue écrite sur un point précis : le codage de graphèmes composés. Elle se déroule dans une classe "langage entier" et une classe "syllabique" avec 12enfants les plus en difficulté au niveau de l’apprentissage de la lecture-écriture. La première hypothèse est que, dans la classe "syllabique", l’enseignement progressif du code phonographique partant d’unités graphiques simples (un graphème) pour aller vers des unités graphiques composées, peut amener certains enfants à avoir une vision "unitaire" de l’écrit (un phonème = un graphème). La deuxième hypothèse est que, dans la classe "langage entier", les enfants découvrant en même temps les unités graphiques simples et composées peuvent fournir plus de codages "pluriels" que ceux de la classe "syllabique". Enfin, la dernière hypothèse repose sur l’exactitude des graphèmes pluriels utilisés. En ligne : http://spirale-edu-revue.fr/IMG/pdf/6_hannouz.pdf Format de la ressource électronique : Texte intégral Les exercices dans les écoles d'ingénieurs sous l'Ancien Régime et la Révolution / Bruno Belhoste in Histoire de l'éducation (Paris. 1978), 46 (05/1990)
[article]
Titre : Les exercices dans les écoles d'ingénieurs sous l'Ancien Régime et la Révolution Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Belhoste, Auteur ; Antoine Picon, Auteur ; Joël Sakarovitch, Auteur Année de publication : 1990 Article en page(s) : p. 53-109 Langues : Français Mots-clés : exercice écrit 18e siècle élève école d'ingénieurs formation graphique contexte pédagogique culture technique Résumé : Les exercices d'élèves, en particulier les exercices graphiques, sont un bon révélateur du fonctionnement des anciennes écoles d'ingénieurs et du type d'ingénieurs qu'elles sont censées former. Leur position est, en effet, stratégique : c'est au cours des exercices que se réalise de manière privilégiée en milieu scolaire l'application de la théorie aux situations pratiques, caractéristique de l'art de l'ingénieur. L'examen des travaux d'élèves, replacés dans leur contexte pédagogique, éclaire ainsi les rapports complexes entre enseignement général et professionnel dans les écoles d'ingénieurs, et, par delà, renouvelle dans une certaine mesure notre vision des formes de culture technique dominantes au XVIIIe siècle. Dans cette étude, nous considérons d'abord les deux grandes écoles d'Ancien Régime, l'École royale des Ponts et Chaussées et l'École royale du Génie de Mézières, puis l'École polytechnique, fondée en 1794 sous le nom d'École centrale des Travaux publics. Ces trois écoles sont très différentes, même si la dernière hérite de bien des traits de ses devancières. En ligne : http://www.persee.fr/doc/hedu_0221-6280_1990_num_46_1_3334 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 46 (05/1990) . - p. 53-109[article] Les exercices dans les écoles d'ingénieurs sous l'Ancien Régime et la Révolution [texte imprimé] / Bruno Belhoste, Auteur ; Antoine Picon, Auteur ; Joël Sakarovitch, Auteur . - 1990 . - p. 53-109.
Langues : Français
in Histoire de l'éducation (Paris. 1978) > 46 (05/1990) . - p. 53-109
Mots-clés : exercice écrit 18e siècle élève école d'ingénieurs formation graphique contexte pédagogique culture technique Résumé : Les exercices d'élèves, en particulier les exercices graphiques, sont un bon révélateur du fonctionnement des anciennes écoles d'ingénieurs et du type d'ingénieurs qu'elles sont censées former. Leur position est, en effet, stratégique : c'est au cours des exercices que se réalise de manière privilégiée en milieu scolaire l'application de la théorie aux situations pratiques, caractéristique de l'art de l'ingénieur. L'examen des travaux d'élèves, replacés dans leur contexte pédagogique, éclaire ainsi les rapports complexes entre enseignement général et professionnel dans les écoles d'ingénieurs, et, par delà, renouvelle dans une certaine mesure notre vision des formes de culture technique dominantes au XVIIIe siècle. Dans cette étude, nous considérons d'abord les deux grandes écoles d'Ancien Régime, l'École royale des Ponts et Chaussées et l'École royale du Génie de Mézières, puis l'École polytechnique, fondée en 1794 sous le nom d'École centrale des Travaux publics. Ces trois écoles sont très différentes, même si la dernière hérite de bien des traits de ses devancières. En ligne : http://www.persee.fr/doc/hedu_0221-6280_1990_num_46_1_3334 Format de la ressource électronique : Texte intégral