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Antidote # 1 : Ne pas opposer bienveillance et exigence / Jean-Michel Zakhartchouk in Cahiers pédagogiques. Hors-série numérique, 46 (04/2017)
[article]
Titre : Antidote # 1 : Ne pas opposer bienveillance et exigence Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Zakhartchouk, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 10-12 Note générale : Numéro uniquement consultable dans l'ENT de la FDE de Montpellier Langues : Français Mots-clés : controverse idée reçue éducation bienveillance sévérité exigence Résumé : Les enseignants et éducateurs qui revendiquent la bienveillance comme ligne de conduite envers les enfants dont ils ont la charge se trouvent fréquemment renvoyés à une prétendue absence d'exigence. Être exigeant, ce serait être sévère, ne pas encourager les chancelants, sanctionner l'erreur. Et ce serait rendre service aux élèves, destinés à vivre dans une jungle sociale. Nous tenons, nous, à l'idée que la bienveillance est le moyen d'une véritable exigence, celle que l'élève réussisse. Encadré : Ce qu’en dit Ferdinand Buisson.
in Cahiers pédagogiques. Hors-série numérique > 46 (04/2017) . - p. 10-12[article] Antidote # 1 : Ne pas opposer bienveillance et exigence [texte imprimé] / Jean-Michel Zakhartchouk, Auteur . - 2017 . - p. 10-12.
Numéro uniquement consultable dans l'ENT de la FDE de Montpellier
Langues : Français
in Cahiers pédagogiques. Hors-série numérique > 46 (04/2017) . - p. 10-12
Mots-clés : controverse idée reçue éducation bienveillance sévérité exigence Résumé : Les enseignants et éducateurs qui revendiquent la bienveillance comme ligne de conduite envers les enfants dont ils ont la charge se trouvent fréquemment renvoyés à une prétendue absence d'exigence. Être exigeant, ce serait être sévère, ne pas encourager les chancelants, sanctionner l'erreur. Et ce serait rendre service aux élèves, destinés à vivre dans une jungle sociale. Nous tenons, nous, à l'idée que la bienveillance est le moyen d'une véritable exigence, celle que l'élève réussisse. Encadré : Ce qu’en dit Ferdinand Buisson. Le mineur devant le juge des enfants : être jugé le rend-il responsable de ses actes ? / Jean-Marie Fayol-Noireterre in Enfances et psy, 61 (12/2013)
[article]
Titre : Le mineur devant le juge des enfants : être jugé le rend-il responsable de ses actes ? Type de document : document électronique Auteurs : Jean-Marie Fayol-Noireterre, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 78-86 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : responsabilité juridique du mineur délinquant ordonnance du 2 février 1945 spécialisation des juges pour mineurs enfance en danger enfance dangereuse sanction pénale peine prison laxisme sévérité réforme pénale Résumé : Le mineur délinquant est juridiquement responsable de ses actes en droit français. S’il est reconnu coupable, il fait prioritairement l’objet de mesures éducatives d’investigations sur la personnalité, et de traitement de sa délinquance, et à titre exceptionnel, de peines. Il est jugé par des magistrats spécialisés, et selon une procédure particulière qui favorise une cohérence d’interventions dans le temps et dans l’espace, et peut permettre un suivi par un même juge qui responsabilise le mineur face à ses passages à l’acte. Mais cette cohérence est mise en cause par des réformes récentes induisant un jugement des seuls passages à l’acte, sans une prise en compte de la personnalité du mineur, voire en le considérant comme un majeur, rendant impossibles la compréhension et l’intégration de son acte. Pour notre société, le mineur délinquant ne serait plus un mineur en danger mais un mineur dangereux. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2013-4-page-78.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 61 (12/2013) . - p. 78-86[article] Le mineur devant le juge des enfants : être jugé le rend-il responsable de ses actes ? [document électronique] / Jean-Marie Fayol-Noireterre, Auteur . - 2013 . - p. 78-86.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 61 (12/2013) . - p. 78-86
Mots-clés : responsabilité juridique du mineur délinquant ordonnance du 2 février 1945 spécialisation des juges pour mineurs enfance en danger enfance dangereuse sanction pénale peine prison laxisme sévérité réforme pénale Résumé : Le mineur délinquant est juridiquement responsable de ses actes en droit français. S’il est reconnu coupable, il fait prioritairement l’objet de mesures éducatives d’investigations sur la personnalité, et de traitement de sa délinquance, et à titre exceptionnel, de peines. Il est jugé par des magistrats spécialisés, et selon une procédure particulière qui favorise une cohérence d’interventions dans le temps et dans l’espace, et peut permettre un suivi par un même juge qui responsabilise le mineur face à ses passages à l’acte. Mais cette cohérence est mise en cause par des réformes récentes induisant un jugement des seuls passages à l’acte, sans une prise en compte de la personnalité du mineur, voire en le considérant comme un majeur, rendant impossibles la compréhension et l’intégration de son acte. Pour notre société, le mineur délinquant ne serait plus un mineur en danger mais un mineur dangereux. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2013-4-page-78.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral