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Des embarras du psychanalyste face à l’adolescent transgenre / Julien Bufnoir in Enfances et psy, 69 (07/2016)
[article]
Titre : Des embarras du psychanalyste face à l’adolescent transgenre Type de document : document électronique Auteurs : Julien Bufnoir, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 66-74 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : embarras adolescence transgenre transsexualisme écoute analytique Bion Résumé : La rencontre analytique avec l’adolescent transgenre peut mettre à mal l’analyste en bousculant son attitude analytique, que ce soit en ce qui concerne sa position de neutralité bienveillante, son positionnement hors du champ de la pathologie et surtout son écoute. L’auteur se propose, au travers de ses réflexions engendrées par la rencontre avec des adolescents "transgenre", de réfléchir aux multiples embarras qui se présentent à lui et à leurs conséquences sur sa pratique. Le recours aux théories de W.R. Bion en ce qui concerne la position de l’analyste ("sans mémoire, sans désir", atonement) aide à sortir de ces embarras en exigeant une écoute psychanalytique particulièrement rigoureuse. L’auteur questionne ce que pourrait être la valeur pour ces adolescents d’être eux-mêmes un embarras. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2016-1-page-66.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 69 (07/2016) . - p. 66-74[article] Des embarras du psychanalyste face à l’adolescent transgenre [document électronique] / Julien Bufnoir, Auteur . - 2016 . - p. 66-74.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 69 (07/2016) . - p. 66-74
Mots-clés : embarras adolescence transgenre transsexualisme écoute analytique Bion Résumé : La rencontre analytique avec l’adolescent transgenre peut mettre à mal l’analyste en bousculant son attitude analytique, que ce soit en ce qui concerne sa position de neutralité bienveillante, son positionnement hors du champ de la pathologie et surtout son écoute. L’auteur se propose, au travers de ses réflexions engendrées par la rencontre avec des adolescents "transgenre", de réfléchir aux multiples embarras qui se présentent à lui et à leurs conséquences sur sa pratique. Le recours aux théories de W.R. Bion en ce qui concerne la position de l’analyste ("sans mémoire, sans désir", atonement) aide à sortir de ces embarras en exigeant une écoute psychanalytique particulièrement rigoureuse. L’auteur questionne ce que pourrait être la valeur pour ces adolescents d’être eux-mêmes un embarras. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2016-1-page-66.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral Parler clair et raison garder sur la question du genre / Colette Chiland in Enfances et psy, 69 (07/2016)
[article]
Titre : Parler clair et raison garder sur la question du genre Type de document : document électronique Auteurs : Colette Chiland, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 13-26 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : genre différence des sexes égalité des droits trouble du développement du sexe transsexualisme Résumé : On parle à tort et à travers du genre et de la théorie du genre. Il est stupéfiant que personne, ni les dictionnaires ni les auteurs de livres entièrement consacrés au genre, ne se soucie de la manière dont gender, après avoir été emprunté par l’anglais au français gendre au XIVe siècle, est réapparu en anglais en 1955 avec un sens ancien réactualisé. On ne cite pas le texte fondateur écrit par John Money. Certes, pour diverses raisons, Money est maintenant voué aux gémonies. Mais surtout il est commode de disposer d’un mot joker qu’on peut employer comme on veut pour justifier son idéologie. Ce sera tantôt le rapport entre les sexes, tantôt la condition féminine, tantôt la critique des normes sociales ; ce sera le déni de la réalité biologique, qui fait que la procréation humaine est sexuée. Le genre est simplement le statut social en fonction du sexe construit par toutes les sociétés, qu’elles reconnaissent deux sexes ou davantage. Ce statut comporte de l’arbitraire. En particulier "une valence différentielle" a conduit à l’infériorisation de la femme. On ne saurait pour autant nier l’existence de la différence des sexes : l’inégalité des droits commence seulement quand on hiérarchise les différences. On ne peut pas changer de sexe biologique ; on peut inventer des statuts pour les situations difficiles, d’origine biologique ou autre, qui font souffrir les personnes : troubles du développement du sexe, transsexualisme, etc. Mais prétendre que choisir son sexe est un droit humain est une aberration. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2016-1-page-13.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 69 (07/2016) . - p. 13-26[article] Parler clair et raison garder sur la question du genre [document électronique] / Colette Chiland, Auteur . - 2016 . - p. 13-26.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 69 (07/2016) . - p. 13-26
Mots-clés : genre différence des sexes égalité des droits trouble du développement du sexe transsexualisme Résumé : On parle à tort et à travers du genre et de la théorie du genre. Il est stupéfiant que personne, ni les dictionnaires ni les auteurs de livres entièrement consacrés au genre, ne se soucie de la manière dont gender, après avoir été emprunté par l’anglais au français gendre au XIVe siècle, est réapparu en anglais en 1955 avec un sens ancien réactualisé. On ne cite pas le texte fondateur écrit par John Money. Certes, pour diverses raisons, Money est maintenant voué aux gémonies. Mais surtout il est commode de disposer d’un mot joker qu’on peut employer comme on veut pour justifier son idéologie. Ce sera tantôt le rapport entre les sexes, tantôt la condition féminine, tantôt la critique des normes sociales ; ce sera le déni de la réalité biologique, qui fait que la procréation humaine est sexuée. Le genre est simplement le statut social en fonction du sexe construit par toutes les sociétés, qu’elles reconnaissent deux sexes ou davantage. Ce statut comporte de l’arbitraire. En particulier "une valence différentielle" a conduit à l’infériorisation de la femme. On ne saurait pour autant nier l’existence de la différence des sexes : l’inégalité des droits commence seulement quand on hiérarchise les différences. On ne peut pas changer de sexe biologique ; on peut inventer des statuts pour les situations difficiles, d’origine biologique ou autre, qui font souffrir les personnes : troubles du développement du sexe, transsexualisme, etc. Mais prétendre que choisir son sexe est un droit humain est une aberration. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2016-1-page-13.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral