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Penser l'éducation / Houssaye, Jean . N° 32. 2012/2Bulletin N° 32Mention de date : 12/2012 Paru le : 01/12/2012 |
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Ajouter le résultat dans votre panierFormer à la pédagogie : oui, mais comment ? / Jean Houssaye in Penser l'éducation, N° 32. 2012/2 (12/2012)
[article]
Titre : Former à la pédagogie : oui, mais comment ? Type de document : document électronique Auteurs : Jean Houssaye, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 5-14 Langues : Français Mots-clés : formation pédagogie Résumé : Définissons la pédagogie comme l’enveloppement mutuel et dialectique de la théorie et de la pratique par la même personne, sur la même personne. Considérons que les savoirs en éducation ont toujours émané de deux sources, à travers les siècles : la source des "savants" et la source des "faiseurs". Les savants, on les reconnaît dans les savoirs produits successivement par les philosophes, les théologiens, puis les scientifiques, donc les spécialistes d’un domaine qui prennent l’éducation comme objet à partir de leur épistémologie respective. Les faiseurs, on les reconnaît dans ceux que l’on appelle les pédagogues, soit des praticiens-théoriciens de l’action éducative. Ne prenons en compte ici que les savoirs pédagogiques, sachant cependant que former un pédagogue ne peut se réduire à lui permettre de disposer de ces seuls savoirs. Le savoir-faire suppose toujours un savoir à faire savoir. Il reste que les contenus à faire savoir ne détiennent pas en eux-mêmes la manière de les faire savoir. Autrement dit, subsiste bien un type de savoirs que l’on va appeler pédagogiques et qui requièrent un apprentissage spécifique, une formation spécifique. Alors comment former à la pédagogie ? Nous allons privilégier ici la formation pédagogique initiale, car elle est beaucoup plus emblématique de la nature, des conditions et des difficultés de la formation pédagogique. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 5-14[article] Former à la pédagogie : oui, mais comment ? [document électronique] / Jean Houssaye, Auteur . - 2012 . - p. 5-14.
Langues : Français
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 5-14
Mots-clés : formation pédagogie Résumé : Définissons la pédagogie comme l’enveloppement mutuel et dialectique de la théorie et de la pratique par la même personne, sur la même personne. Considérons que les savoirs en éducation ont toujours émané de deux sources, à travers les siècles : la source des "savants" et la source des "faiseurs". Les savants, on les reconnaît dans les savoirs produits successivement par les philosophes, les théologiens, puis les scientifiques, donc les spécialistes d’un domaine qui prennent l’éducation comme objet à partir de leur épistémologie respective. Les faiseurs, on les reconnaît dans ceux que l’on appelle les pédagogues, soit des praticiens-théoriciens de l’action éducative. Ne prenons en compte ici que les savoirs pédagogiques, sachant cependant que former un pédagogue ne peut se réduire à lui permettre de disposer de ces seuls savoirs. Le savoir-faire suppose toujours un savoir à faire savoir. Il reste que les contenus à faire savoir ne détiennent pas en eux-mêmes la manière de les faire savoir. Autrement dit, subsiste bien un type de savoirs que l’on va appeler pédagogiques et qui requièrent un apprentissage spécifique, une formation spécifique. Alors comment former à la pédagogie ? Nous allons privilégier ici la formation pédagogique initiale, car elle est beaucoup plus emblématique de la nature, des conditions et des difficultés de la formation pédagogique. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral Réflexion sur l’utilité et le sens des enseignements technologiques / Marie Agostini in Penser l'éducation, N° 32. 2012/2 (12/2012)
[article]
Titre : Réflexion sur l’utilité et le sens des enseignements technologiques Type de document : document électronique Auteurs : Marie Agostini, Auteur ; Jacques Ginestié, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 15-29 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : enseignement technologique interdisciplinarité socialisation intégration éducation à la citoyenneté Résumé : Les enseignements technologiques ont hérité de plusieurs préjugés dévalorisants qui rendent opaque leur utilité, leur sens et la continuité de ces enseignements avec les autres disciplines. Pourtant ceux-ci sont seuls à même d’encourager les élèves à construire un « discours sur la technique », technique omniprésente autour de nous. Mais en quoi consiste ce « discours sur la technique » ? Nous pensons que ce discours ne saurait se réduire à de la mécanique pure. Les enseignements technologiques sont en mesure de rendre intelligibles les objets techniques en tant que faits sociaux et de les inscrire dans une démarche d’émancipation de la pensée. Ils peuvent devenir un lieu où les élèves apprennent à élaborer leur propre discours sur la technique et à penser par eux-mêmes les enjeux sociaux liés aux objets techniques. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 15-29[article] Réflexion sur l’utilité et le sens des enseignements technologiques [document électronique] / Marie Agostini, Auteur ; Jacques Ginestié, Auteur . - 2012 . - p. 15-29.
Bibliogr.
Langues : Français
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 15-29
Mots-clés : enseignement technologique interdisciplinarité socialisation intégration éducation à la citoyenneté Résumé : Les enseignements technologiques ont hérité de plusieurs préjugés dévalorisants qui rendent opaque leur utilité, leur sens et la continuité de ces enseignements avec les autres disciplines. Pourtant ceux-ci sont seuls à même d’encourager les élèves à construire un « discours sur la technique », technique omniprésente autour de nous. Mais en quoi consiste ce « discours sur la technique » ? Nous pensons que ce discours ne saurait se réduire à de la mécanique pure. Les enseignements technologiques sont en mesure de rendre intelligibles les objets techniques en tant que faits sociaux et de les inscrire dans une démarche d’émancipation de la pensée. Ils peuvent devenir un lieu où les élèves apprennent à élaborer leur propre discours sur la technique et à penser par eux-mêmes les enjeux sociaux liés aux objets techniques. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral Quelques implications éducatives de la Problématologie / Michel Fabre in Penser l'éducation, N° 32. 2012/2 (12/2012)
[article]
Titre : Quelques implications éducatives de la Problématologie : L’idée de réification chez Michel Meyer Type de document : document électronique Auteurs : Michel Fabre, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 30-48 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : problématologie réification aliénation reconnaissance philosophie de l’éducation Résumé : Le thème de la réification développé chez Marx, Lukacs et l’école de Francfort, repose sur la critique de l’extension du fétichisme de la marchandise à toute la sphère sociale. Bien qu’on puisse en tirer des conséquences importantes en ce qui concerne le rapport au savoir et le relationnel, cette perspective reste cependant quelque peu extérieure à l’éducation. La question est donc de savoir si la thématique de la réification peut être déployée également dans une pensée telle que la Problématologie de Michel Meyer, apparemment éloignée de la tradition marxiste, mais qui, parce qu’elle entend donner une interprétation globale de la culture, semble plus à même de cerner les effets de réification qui affectent la sphère éducative. La Problématologie nous permet-elle de repenser la catégorie de réification et, à travers elle, de renouveler les thématiques connexes de la reconnaissance, de l’aliénation et d’émancipation ? L’hypothèse est que ces notions ont quelque chose à voir avec l’acceptation ou le refus de la problématicité irréductible de l’être humain, attitudes aux enjeux éducatifs déterminants. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 30-48[article] Quelques implications éducatives de la Problématologie : L’idée de réification chez Michel Meyer [document électronique] / Michel Fabre, Auteur . - 2012 . - p. 30-48.
Bibliogr.
Langues : Français
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 30-48
Mots-clés : problématologie réification aliénation reconnaissance philosophie de l’éducation Résumé : Le thème de la réification développé chez Marx, Lukacs et l’école de Francfort, repose sur la critique de l’extension du fétichisme de la marchandise à toute la sphère sociale. Bien qu’on puisse en tirer des conséquences importantes en ce qui concerne le rapport au savoir et le relationnel, cette perspective reste cependant quelque peu extérieure à l’éducation. La question est donc de savoir si la thématique de la réification peut être déployée également dans une pensée telle que la Problématologie de Michel Meyer, apparemment éloignée de la tradition marxiste, mais qui, parce qu’elle entend donner une interprétation globale de la culture, semble plus à même de cerner les effets de réification qui affectent la sphère éducative. La Problématologie nous permet-elle de repenser la catégorie de réification et, à travers elle, de renouveler les thématiques connexes de la reconnaissance, de l’aliénation et d’émancipation ? L’hypothèse est que ces notions ont quelque chose à voir avec l’acceptation ou le refus de la problématicité irréductible de l’être humain, attitudes aux enjeux éducatifs déterminants. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral Eïdos et aporie pédagogique : pouvoir, savoir, liberté et autonomie / Armando Zambrano Leal in Penser l'éducation, N° 32. 2012/2 (12/2012)
[article]
Titre : Eïdos et aporie pédagogique : pouvoir, savoir, liberté et autonomie Type de document : document électronique Auteurs : Armando Zambrano Leal, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 49-64 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : acte pédagogique pouvoir savoir liberté autonomie Résumé : L’acte pédagogique, c’est un acte de pouvoir et une pratique d’autorité. On sait que le pouvoir est une pratique de savoir dissimulé étroitement liée à l’émergence du sujet et visible par l’exercice de la force ou de l’autorité. Etant donné qu’il est ainsi, il nous faut le comprendre sans renoncer à croire que la pédagogie soit possible hors de ce pouvoir. C’est dans cette réalité qu’elle est porteuse d’un statut autre que celui de la seule transmission de la culture. Certes, elle n’est pas une discipline, mais un exercice du pouvoir, une pratique de connaissance cherchant toujours à faire de l’élève un sujet libre et autonome. La pédagogie pourrait, dans ce sens là, être assimilée à une « politique de l’âme ». Ceci, parce qu’enseigner, c’est avant tout exercer sur un sujet un pouvoir au travers d’un savoir ; apprendre c’est s’emparer, à la fois, de ce savoir et de ce pouvoir pour agir autrement dans la vie. Et lorsqu’on dit pouvoir, on dit aussi exercice d’une pratique de savoir ; politique de l’âme seule capable de nous faire revenir sur notre propre histoire. Autrement dit, l’action pédagogique n’est pas la transmission d’un savoir, mais l’appropriation d’un savoir pour la vie et la survie de l’esprit. Elle est une technique de savoir au service de la croissance de l’esprit. La pédagogie, elle, est pouvoir et autorité dans l’ordre d’une conquête de l’humain. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 49-64[article] Eïdos et aporie pédagogique : pouvoir, savoir, liberté et autonomie [document électronique] / Armando Zambrano Leal, Auteur . - 2012 . - p. 49-64.
Bibliogr.
Langues : Français
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 49-64
Mots-clés : acte pédagogique pouvoir savoir liberté autonomie Résumé : L’acte pédagogique, c’est un acte de pouvoir et une pratique d’autorité. On sait que le pouvoir est une pratique de savoir dissimulé étroitement liée à l’émergence du sujet et visible par l’exercice de la force ou de l’autorité. Etant donné qu’il est ainsi, il nous faut le comprendre sans renoncer à croire que la pédagogie soit possible hors de ce pouvoir. C’est dans cette réalité qu’elle est porteuse d’un statut autre que celui de la seule transmission de la culture. Certes, elle n’est pas une discipline, mais un exercice du pouvoir, une pratique de connaissance cherchant toujours à faire de l’élève un sujet libre et autonome. La pédagogie pourrait, dans ce sens là, être assimilée à une « politique de l’âme ». Ceci, parce qu’enseigner, c’est avant tout exercer sur un sujet un pouvoir au travers d’un savoir ; apprendre c’est s’emparer, à la fois, de ce savoir et de ce pouvoir pour agir autrement dans la vie. Et lorsqu’on dit pouvoir, on dit aussi exercice d’une pratique de savoir ; politique de l’âme seule capable de nous faire revenir sur notre propre histoire. Autrement dit, l’action pédagogique n’est pas la transmission d’un savoir, mais l’appropriation d’un savoir pour la vie et la survie de l’esprit. Elle est une technique de savoir au service de la croissance de l’esprit. La pédagogie, elle, est pouvoir et autorité dans l’ordre d’une conquête de l’humain. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral Gymnastiques et instruction publique du XIXe siècle au début du XXe / Gérard Seignan in Penser l'éducation, N° 32. 2012/2 (12/2012)
[article]
Titre : Gymnastiques et instruction publique du XIXe siècle au début du XXe : Une pédagogie morale Type de document : document électronique Auteurs : Gérard Seignan, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 65-87 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : pédagogie morale exercice du corps psychologie physiologique hygiène du corps et de l’esprit Résumé : L’objectif de cet article est de montrer comment les valeurs attribuées aux exercices du corps s’inscrivent dans l’histoire des idées pédagogiques. Nous verrons qu’au cours du XIXe siècle jusqu’au début du XXe , la pédagogie prend délibérément en compte les formes morales de l’attention au corps. Dans ce but, elle en appelle aux exercices physiques pour façonner l’homme d’action, celui sur qui repose le devenir d’un peuple. Progressivement, le modèle éducatif qui se développe intègre dans ses données les pratiques sociales dont le sport est un des éléments. Loué comme outil de moralisation au regard de vertus dont il serait porteur et d’une hygiène à laquelle il s’intègre, le sport, bien que réservé à une marge restreinte de la population, s’inscrit contre l’ancienne gymnastique animée cependant de quelques soubresauts. Une mutation se met ainsi en place et le modèle sportif s’impose lentement jusqu’à représenter une morale en acte dont l’école choisit de se faire l’écho. Morale bourgeoise sans doute, républicaine aussi, mais surtout empreinte de psychologie de l’action et dès lors partie prenante d’un corps instruit sommé de la véhiculer. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 65-87[article] Gymnastiques et instruction publique du XIXe siècle au début du XXe : Une pédagogie morale [document électronique] / Gérard Seignan, Auteur . - 2012 . - p. 65-87.
Bibliogr.
Langues : Français
in Penser l'éducation > N° 32. 2012/2 (12/2012) . - p. 65-87
Mots-clés : pédagogie morale exercice du corps psychologie physiologique hygiène du corps et de l’esprit Résumé : L’objectif de cet article est de montrer comment les valeurs attribuées aux exercices du corps s’inscrivent dans l’histoire des idées pédagogiques. Nous verrons qu’au cours du XIXe siècle jusqu’au début du XXe , la pédagogie prend délibérément en compte les formes morales de l’attention au corps. Dans ce but, elle en appelle aux exercices physiques pour façonner l’homme d’action, celui sur qui repose le devenir d’un peuple. Progressivement, le modèle éducatif qui se développe intègre dans ses données les pratiques sociales dont le sport est un des éléments. Loué comme outil de moralisation au regard de vertus dont il serait porteur et d’une hygiène à laquelle il s’intègre, le sport, bien que réservé à une marge restreinte de la population, s’inscrit contre l’ancienne gymnastique animée cependant de quelques soubresauts. Une mutation se met ainsi en place et le modèle sportif s’impose lentement jusqu’à représenter une morale en acte dont l’école choisit de se faire l’écho. Morale bourgeoise sans doute, républicaine aussi, mais surtout empreinte de psychologie de l’action et dès lors partie prenante d’un corps instruit sommé de la véhiculer. En ligne : http://cirnef.normandie-univ.fr/wp-content/uploads/2020/02/93627.pdf Format de la ressource électronique : Numéro intégral