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Education et formations . 103Admission Post-Bac : le portail APB reflet des problématiques d'affectation dans l'enseignement supérieurMention de date : 04/2022 Paru le : 01/04/2022 |
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Ajouter le résultat dans votre panierAdmission Post-Bac : le portail APB reflet des problématiques d'affectation dans l'enseignement supérieur / Cosima Bluntz in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : Admission Post-Bac : le portail APB reflet des problématiques d'affectation dans l'enseignement supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : Cosima Bluntz, Auteur ; Philippe Lemistre, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 7-26 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : plateforme d'orientation scolaire APB (admission post-bac) enseignement supérieur inégalité sociale Résumé : Cet article introduit les six suivants issus d’une collaboration entre le Céreq et le SIES pour l’exploitation des données APB’stat 2016. Un rappel de la procédure d’admission post-bac (APB) est proposé, avant de mettre en évidence les enjeux de ces investigations, depuis que APB a été remplacée par Parcoursup. APB y est d’abord présentée dans le cadre de l’expansion scolaire dont les caractéristiques sont rappelées, puis une première exploitation de la base 2016 décrit les affectations à l’issue de la procédure. Ces constats sont ensuite resitués dans le cadre des questions d’inégalités liées aux choix d’orientation. Après un rapide rappel des liens entre expansion scolaire et démocratisation ségrégative, un bilan est proposé à partir d’une cote sociale en 7 niveaux. Cet article se conclut par une remise en perspective des enjeux des comparaisons à venir entre APB et Parcoursup au vu de ce rapide cadrage et en lien avec la présentation des 6 articles qui suit. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113918/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 7-26[article] Admission Post-Bac : le portail APB reflet des problématiques d'affectation dans l'enseignement supérieur [texte imprimé] / Cosima Bluntz, Auteur ; Philippe Lemistre, Auteur . - 2022 . - p. 7-26.
Bibliogr.
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 7-26
Mots-clés : plateforme d'orientation scolaire APB (admission post-bac) enseignement supérieur inégalité sociale Résumé : Cet article introduit les six suivants issus d’une collaboration entre le Céreq et le SIES pour l’exploitation des données APB’stat 2016. Un rappel de la procédure d’admission post-bac (APB) est proposé, avant de mettre en évidence les enjeux de ces investigations, depuis que APB a été remplacée par Parcoursup. APB y est d’abord présentée dans le cadre de l’expansion scolaire dont les caractéristiques sont rappelées, puis une première exploitation de la base 2016 décrit les affectations à l’issue de la procédure. Ces constats sont ensuite resitués dans le cadre des questions d’inégalités liées aux choix d’orientation. Après un rapide rappel des liens entre expansion scolaire et démocratisation ségrégative, un bilan est proposé à partir d’une cote sociale en 7 niveaux. Cet article se conclut par une remise en perspective des enjeux des comparaisons à venir entre APB et Parcoursup au vu de ce rapide cadrage et en lien avec la présentation des 6 articles qui suit. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113918/download Format de la ressource électronique : Texte intégral Quelles inégalités d'accès à l'enseignement supérieur selon l'origine géographique ? / Arnaud Dupray in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : Quelles inégalités d'accès à l'enseignement supérieur selon l'origine géographique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Dupray, Auteur ; Mélanie Vignale, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 27-43 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : enseignement supérieur origine sociale APB (admission post-bac) voeu d'orientation inégalité géographique mobilité des étudiants Résumé : Il s’agit dans cet article d’évaluer si les souhaits d’orientation dans le supérieur des bacheliers, au travers de l’usage de la plateforme Admission Post-Bac, diffèrent selon leur territoire d’origine et si la réponse de l’institution neutralise en partie ces inégalités de souhaits. Le territoire est approché par la catégorie d’aire urbaine de résidence d’origine des bacheliers 2016. Malgré une tendance générale à privilégier la proximité, la nécessité de migrer se vérifie par des distances moyennes plus grandes pour les bacheliers des plus petites communes. Par ailleurs, les voeux de ces derniers sont à la fois moins diversifiés et moins ambitieux et liés aux caractéristiques sociales et économiques des familles. La pénalité liée au fait de vivre dans un territoire périphérique est particulièrement aiguë pour les jeunes d’origine sociale modeste. En revanche, les propositions faites par l’institution scolaire tendraient à neutraliser en partie ces mécanismes en majorant pour ces derniers les réponses favorables au premier voeu émis En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113921/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 27-43[article] Quelles inégalités d'accès à l'enseignement supérieur selon l'origine géographique ? [texte imprimé] / Arnaud Dupray, Auteur ; Mélanie Vignale, Auteur . - 2022 . - p. 27-43.
Bibliogr.
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 27-43
Mots-clés : enseignement supérieur origine sociale APB (admission post-bac) voeu d'orientation inégalité géographique mobilité des étudiants Résumé : Il s’agit dans cet article d’évaluer si les souhaits d’orientation dans le supérieur des bacheliers, au travers de l’usage de la plateforme Admission Post-Bac, diffèrent selon leur territoire d’origine et si la réponse de l’institution neutralise en partie ces inégalités de souhaits. Le territoire est approché par la catégorie d’aire urbaine de résidence d’origine des bacheliers 2016. Malgré une tendance générale à privilégier la proximité, la nécessité de migrer se vérifie par des distances moyennes plus grandes pour les bacheliers des plus petites communes. Par ailleurs, les voeux de ces derniers sont à la fois moins diversifiés et moins ambitieux et liés aux caractéristiques sociales et économiques des familles. La pénalité liée au fait de vivre dans un territoire périphérique est particulièrement aiguë pour les jeunes d’origine sociale modeste. En revanche, les propositions faites par l’institution scolaire tendraient à neutraliser en partie ces mécanismes en majorant pour ces derniers les réponses favorables au premier voeu émis En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113921/download Format de la ressource électronique : Texte intégral L'espace concurrentiel de l'enseignement supérieur universitaire francilien : hiérarchisation des voeux et des formations dans APB 2016 / Leïla Frouillou in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : L'espace concurrentiel de l'enseignement supérieur universitaire francilien : hiérarchisation des voeux et des formations dans APB 2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : Leïla Frouillou, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 44-59 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : enseignement supérieur APB (admission post-bac) université francilienne profil étudiant sélectivité sociale Résumé : La base de données issue du dispositif d’affectation APB 2016 permet de comprendre la hiérarchisation des formations universitaires dans l’espace particulièrement concurrentiel que constitue l’Île-de-France. Pour cela, cet article compare les profils scolaires (type de baccalauréat, mentions) et sociaux (PCS des parents) des candidats à l’entrée des filières en droit, AES, sociologie, mathématiques et géographie dans cette région. On observe des différences non seulement entre filières d’études, mais également entre les formations des différents établissements franciliens. De plus, les écarts socio-scolaires varient selon que l’on compare les candidats aux formations, les candidats des premiers vœux, ou encore les candidats avec une proposition d’affectation en fin de procédure APB. La priorité académique joue un rôle important lorsque les formations sont en tension, avec des demandes bien supérieures aux capacités d’accueil. Les éléments de ce texte constituent ainsi des premières pistes de compréhension des effets complexes des procédures d’affectation dans le supérieur. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113924/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 44-59[article] L'espace concurrentiel de l'enseignement supérieur universitaire francilien : hiérarchisation des voeux et des formations dans APB 2016 [texte imprimé] / Leïla Frouillou, Auteur . - 2022 . - p. 44-59.
Bibliogr.
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 44-59
Mots-clés : enseignement supérieur APB (admission post-bac) université francilienne profil étudiant sélectivité sociale Résumé : La base de données issue du dispositif d’affectation APB 2016 permet de comprendre la hiérarchisation des formations universitaires dans l’espace particulièrement concurrentiel que constitue l’Île-de-France. Pour cela, cet article compare les profils scolaires (type de baccalauréat, mentions) et sociaux (PCS des parents) des candidats à l’entrée des filières en droit, AES, sociologie, mathématiques et géographie dans cette région. On observe des différences non seulement entre filières d’études, mais également entre les formations des différents établissements franciliens. De plus, les écarts socio-scolaires varient selon que l’on compare les candidats aux formations, les candidats des premiers vœux, ou encore les candidats avec une proposition d’affectation en fin de procédure APB. La priorité académique joue un rôle important lorsque les formations sont en tension, avec des demandes bien supérieures aux capacités d’accueil. Les éléments de ce texte constituent ainsi des premières pistes de compréhension des effets complexes des procédures d’affectation dans le supérieur. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113924/download Format de la ressource électronique : Texte intégral S'orienter en licence d'humanités. Les filières d'arts, lettres, langues et sciences humaines sont-elles réellement un choix de second rang ? / Mathieu Rossignol-Brunet in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : S'orienter en licence d'humanités. Les filières d'arts, lettres, langues et sciences humaines sont-elles réellement un choix de second rang ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Rossignol-Brunet, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 60-81 Note générale : Bibliogr., Annexe Langues : Français Mots-clés : enseignement supérieur APB (admission post-bac) orientation sciences humaines Résumé : L’idée d’une orientation "par défaut" à l’université reste forte, notamment en ce qui concerne les licences en humanités, parmi les principaux réceptacles de la seconde massification scolaire. À travers l’exploitation de la base APB 2016, nous revenons sur cette orientation par "défaut" en licence d’arts, lettres, langues et sciences humaines pour montrer que celle-ci est loin d’être majoritaire : bien souvent, la licence d’admission constitue un premier choix pour les néo-bacheliers. Ce sont alors d’abord les étudiants disposant d’un moindre niveau scolaire et non issus des séries générales qui sont les plus concernés par une admission dans une formation différente de leur premier voeu. Toutefois, pour une part non négligeable des étudiants, la licence en humanités où ils ont été admis présente des affinités disciplinaires importantes avec la formation dont ils ont été recalés : l’admission en licence d’arts, lettres, langues et sciences humaines leur permet alors d’entamer des études en lien avec leurs centres d’intérêt. Dès lors, il nous semble préférable de parler d’orientation "contrariée" plutôt que d’orientation "par défaut". En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113927/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 60-81[article] S'orienter en licence d'humanités. Les filières d'arts, lettres, langues et sciences humaines sont-elles réellement un choix de second rang ? [texte imprimé] / Mathieu Rossignol-Brunet, Auteur . - 2022 . - p. 60-81.
Bibliogr., Annexe
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 60-81
Mots-clés : enseignement supérieur APB (admission post-bac) orientation sciences humaines Résumé : L’idée d’une orientation "par défaut" à l’université reste forte, notamment en ce qui concerne les licences en humanités, parmi les principaux réceptacles de la seconde massification scolaire. À travers l’exploitation de la base APB 2016, nous revenons sur cette orientation par "défaut" en licence d’arts, lettres, langues et sciences humaines pour montrer que celle-ci est loin d’être majoritaire : bien souvent, la licence d’admission constitue un premier choix pour les néo-bacheliers. Ce sont alors d’abord les étudiants disposant d’un moindre niveau scolaire et non issus des séries générales qui sont les plus concernés par une admission dans une formation différente de leur premier voeu. Toutefois, pour une part non négligeable des étudiants, la licence en humanités où ils ont été admis présente des affinités disciplinaires importantes avec la formation dont ils ont été recalés : l’admission en licence d’arts, lettres, langues et sciences humaines leur permet alors d’entamer des études en lien avec leurs centres d’intérêt. Dès lors, il nous semble préférable de parler d’orientation "contrariée" plutôt que d’orientation "par défaut". En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113927/download Format de la ressource électronique : Texte intégral L'orientation des bacheliers scientifiques saisie à travers la base APB : quelle place pour les licences universitaires ? / Marianne Blanchard in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : L'orientation des bacheliers scientifiques saisie à travers la base APB : quelle place pour les licences universitaires ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marianne Blanchard, Auteur ; Philippe Lemistre, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 82-103 Note générale : Bibliogr., Annexe Langues : Français Mots-clés : enseignement supérieur licence APB (admission post-bac) orientation baccalauréat scientifique Résumé : Cet article analyse l’attractivité des licences universitaires dans l’espace de l’enseignement supérieur français en interrogeant la place qu’elles occupent dans l’orientation des titulaires d’un baccalauréat scientifique (S). Le vœu validé par les néo-bacheliers S sur la base APB est pris en compte pour analyser leurs choix. L’université reste le principal débouché de ces derniers, même si comparativement aux autres formations celles et ceux qui s’orientent vers une licence sont plus souvent issus des classes sociales les plus défavorisées ou ont obtenu de moins bons résultats au baccalauréat. Néanmoins, les licences universitaires n’attirent pas les mêmes publics, en fonction du genre, de l’origine sociale et de la mention obtenue : ceci témoigne des usages différenciés d’un même diplôme et des stratégies multiples pouvant conduire "à la fac". En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113930/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 82-103[article] L'orientation des bacheliers scientifiques saisie à travers la base APB : quelle place pour les licences universitaires ? [texte imprimé] / Marianne Blanchard, Auteur ; Philippe Lemistre, Auteur . - 2022 . - p. 82-103.
Bibliogr., Annexe
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 82-103
Mots-clés : enseignement supérieur licence APB (admission post-bac) orientation baccalauréat scientifique Résumé : Cet article analyse l’attractivité des licences universitaires dans l’espace de l’enseignement supérieur français en interrogeant la place qu’elles occupent dans l’orientation des titulaires d’un baccalauréat scientifique (S). Le vœu validé par les néo-bacheliers S sur la base APB est pris en compte pour analyser leurs choix. L’université reste le principal débouché de ces derniers, même si comparativement aux autres formations celles et ceux qui s’orientent vers une licence sont plus souvent issus des classes sociales les plus défavorisées ou ont obtenu de moins bons résultats au baccalauréat. Néanmoins, les licences universitaires n’attirent pas les mêmes publics, en fonction du genre, de l’origine sociale et de la mention obtenue : ceci témoigne des usages différenciés d’un même diplôme et des stratégies multiples pouvant conduire "à la fac". En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113930/download Format de la ressource électronique : Texte intégral L'obtention de son premier voeu sur APB est-elle un gage de réussite en première année de Licence ? / Cosima Bluntz in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : L'obtention de son premier voeu sur APB est-elle un gage de réussite en première année de Licence ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Cosima Bluntz, Auteur ; Pierre Boulez, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 104-119 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : enseignement supérieur licence origine sociale APB (admission post-bac) orientation niveau scolaire voeu d'orientation Résumé : Dans APB, la licence est la formation la plus demandée par les candidats et la formation la plus souvent acceptée. En 2016, si 64 % des candidats obtiennent leur premier voeu, ils sont 72 % dans ce cas quand le premier voeu est une licence. Ce sont l’origine et le niveau scolaire qui déterminent principalement les chances d’avoir son premier voeu. Ainsi, les bacheliers généraux demandant une licence en premier voeu obtiennent plus souvent satisfaction que les bacheliers technologiques ou professionnels, qui ont plus souvent fait des premiers voeux sélectifs en BTS ou DUT. L’origine sociale et le fait d’être boursier jouent plus sur le passage en 2e année que sur l’obtention du premier voeu. Toutes choses égales par ailleurs, la réussite en L1 est liée tout d’abord au niveau scolaire au collège, au lycée et au moment du baccalauréat, mais aussi au fait d’avoir eu son premier voeu dans APB. Ainsi, si 44 % des étudiants passent en deuxième année de licence en un an, ils ne sont que 36 % dans ce cas quand cette licence n’était pas le premier voeu dans APB. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113933/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 104-119[article] L'obtention de son premier voeu sur APB est-elle un gage de réussite en première année de Licence ? [texte imprimé] / Cosima Bluntz, Auteur ; Pierre Boulez, Auteur . - 2022 . - p. 104-119.
Bibliogr.
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 104-119
Mots-clés : enseignement supérieur licence origine sociale APB (admission post-bac) orientation niveau scolaire voeu d'orientation Résumé : Dans APB, la licence est la formation la plus demandée par les candidats et la formation la plus souvent acceptée. En 2016, si 64 % des candidats obtiennent leur premier voeu, ils sont 72 % dans ce cas quand le premier voeu est une licence. Ce sont l’origine et le niveau scolaire qui déterminent principalement les chances d’avoir son premier voeu. Ainsi, les bacheliers généraux demandant une licence en premier voeu obtiennent plus souvent satisfaction que les bacheliers technologiques ou professionnels, qui ont plus souvent fait des premiers voeux sélectifs en BTS ou DUT. L’origine sociale et le fait d’être boursier jouent plus sur le passage en 2e année que sur l’obtention du premier voeu. Toutes choses égales par ailleurs, la réussite en L1 est liée tout d’abord au niveau scolaire au collège, au lycée et au moment du baccalauréat, mais aussi au fait d’avoir eu son premier voeu dans APB. Ainsi, si 44 % des étudiants passent en deuxième année de licence en un an, ils ne sont que 36 % dans ce cas quand cette licence n’était pas le premier voeu dans APB. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113933/download Format de la ressource électronique : Texte intégral Sélectionner en licence : un moyen de garantir la réussite ? Le cas des licences d'arts d'une université francilienne ? / Nadine Théophile in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : Sélectionner en licence : un moyen de garantir la réussite ? Le cas des licences d'arts d'une université francilienne ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadine Théophile, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 120-134 Note générale : Bibliogr., Annexes Langues : Français Mots-clés : enseignement supérieur licence art réussite APB (admission post-bac) sélection Résumé : Quand les capacités d’accueil d’une licence très demandée sont limitées, les universités peuvent vérifier la motivation des futurs étudiants. Certaines universités se saisissent de cette opportunité pour développer une offre de formation spécifique afin de choisir leurs étudiants. Le cas des licences d’arts d’une université francilienne, toutes sélectives, permet d’interroger des effets de la sélection à l’entrée en licence. En effet, de la candidature à l’inscription, chaque étape agit comme un filtre conduisant in fine à une sur représentation des bacheliers généraux, et notamment scientifiques, dans ces licences. Ainsi, la réussite en licence sélective est plus élevée que dans les autres licences, en raison d’un public plus favorable. Néanmoins, les départs de la licence sont également nombreux, d’une part parce que l’inscription en licence n’était pas forcément un premier voeu. D’autre part, bien que l’orientation ait été soigneusement préparée, les étudiants ont besoin d’éprouver leur projet, ce qui les conduit parfois à les réajuster. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113936/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 120-134[article] Sélectionner en licence : un moyen de garantir la réussite ? Le cas des licences d'arts d'une université francilienne ? [texte imprimé] / Nadine Théophile, Auteur . - 2022 . - p. 120-134.
Bibliogr., Annexes
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 120-134
Mots-clés : enseignement supérieur licence art réussite APB (admission post-bac) sélection Résumé : Quand les capacités d’accueil d’une licence très demandée sont limitées, les universités peuvent vérifier la motivation des futurs étudiants. Certaines universités se saisissent de cette opportunité pour développer une offre de formation spécifique afin de choisir leurs étudiants. Le cas des licences d’arts d’une université francilienne, toutes sélectives, permet d’interroger des effets de la sélection à l’entrée en licence. En effet, de la candidature à l’inscription, chaque étape agit comme un filtre conduisant in fine à une sur représentation des bacheliers généraux, et notamment scientifiques, dans ces licences. Ainsi, la réussite en licence sélective est plus élevée que dans les autres licences, en raison d’un public plus favorable. Néanmoins, les départs de la licence sont également nombreux, d’une part parce que l’inscription en licence n’était pas forcément un premier voeu. D’autre part, bien que l’orientation ait été soigneusement préparée, les étudiants ont besoin d’éprouver leur projet, ce qui les conduit parfois à les réajuster. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113936/download Format de la ressource électronique : Texte intégral Varia : Reconfiguration du champ des formations en sciences humaines en Île-de-France : le poids de la sélection / Mathieu Rossignol-Brunet in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : Varia : Reconfiguration du champ des formations en sciences humaines en Île-de-France : le poids de la sélection Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Rossignol-Brunet, Auteur ; Elise Tenret, Auteur ; Pauline Barraud de Lagerie, Auteur ; Marco Oberti, Auteur ; Yannick Savina, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 136-155 Note générale : Bibliogr., Annexes. Langues : Français Mots-clés : formation sciences humaines APB (admission post-bac) sélection enseignement supérieur francilien Résumé : À partir d’une étude sur les filières en sciences humaines dans le champ de l’enseignement supérieur francilien, et en se concentrant notamment sur celles pratiquant la sélection, cet article montre la diversité et la hiérarchie interne à ces formations. Le développement des licences sélectives à l’université engendre une sélectivité socio-scolaire proche de celles d’établissements historiquement sélectifs. Ainsi, les licences sélectives de Paris 1 ont un recrutement proche de celui des classes préparatoires les plus favorisées et d’institutions comme Sciences Po ou l’université Paris-Dauphine, ce qui traduit les recompositions à l’oeuvre dans le champ de l’enseignement supérieur. Pour autant, malgré des traits communs, Sciences Po, Dauphine et Paris 1 présentent des spécificités en lien avec leur spécialisation disciplinaire. Sciences Po et Paris 1 sont ainsi plus proches entre elles dans leur recrutement qu’elles ne le sont de l’université Paris- Dauphine, car elles recrutent davantage d’étudiants issus des fractions culturelles des classes supérieures et moins d’élèves scientifiques. Les élèves non franciliens y sont également plus nombreux – proportionnellement – qu’ils ne le sont à Dauphine. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113939/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 136-155[article] Varia : Reconfiguration du champ des formations en sciences humaines en Île-de-France : le poids de la sélection [texte imprimé] / Mathieu Rossignol-Brunet, Auteur ; Elise Tenret, Auteur ; Pauline Barraud de Lagerie, Auteur ; Marco Oberti, Auteur ; Yannick Savina, Auteur . - 2022 . - p. 136-155.
Bibliogr., Annexes.
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 136-155
Mots-clés : formation sciences humaines APB (admission post-bac) sélection enseignement supérieur francilien Résumé : À partir d’une étude sur les filières en sciences humaines dans le champ de l’enseignement supérieur francilien, et en se concentrant notamment sur celles pratiquant la sélection, cet article montre la diversité et la hiérarchie interne à ces formations. Le développement des licences sélectives à l’université engendre une sélectivité socio-scolaire proche de celles d’établissements historiquement sélectifs. Ainsi, les licences sélectives de Paris 1 ont un recrutement proche de celui des classes préparatoires les plus favorisées et d’institutions comme Sciences Po ou l’université Paris-Dauphine, ce qui traduit les recompositions à l’oeuvre dans le champ de l’enseignement supérieur. Pour autant, malgré des traits communs, Sciences Po, Dauphine et Paris 1 présentent des spécificités en lien avec leur spécialisation disciplinaire. Sciences Po et Paris 1 sont ainsi plus proches entre elles dans leur recrutement qu’elles ne le sont de l’université Paris- Dauphine, car elles recrutent davantage d’étudiants issus des fractions culturelles des classes supérieures et moins d’élèves scientifiques. Les élèves non franciliens y sont également plus nombreux – proportionnellement – qu’ils ne le sont à Dauphine. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113939/download Format de la ressource électronique : Texte intégral Varia : Grandes écoles : des politiques d'"ouverture sociale" en échec / Cécile Bonneau in Education et formations, 103 (04/2022)
[article]
Titre : Varia : Grandes écoles : des politiques d'"ouverture sociale" en échec Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Bonneau, Auteur ; Pauline Charousset, Auteur ; Julien Grenet, Auteur ; Georgia Thebault, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 156-174 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : grande école étudiant origine sociale sélection échec Résumé : Grâce à des données riches et inédites, cet article analyse les inégalités sociales d’accès aux grandes écoles et leur évolution depuis le milieu des années 2000. Malgré les dispositifs d' "ouverture" qui ont été mis en place par certaines grandes écoles pour diversifier le profil de leurs étudiants, ces institutions d’élite sont restées presque entièrement fermées aux élèves issus de milieux sociaux défavorisés et leur base de recrutement n’a guère évolué au cours des quinze dernières années. Cette permanence des inégalités d’accès aux grandes écoles ne s’explique qu’en partie par les écarts de performance scolaire entre les élèves issus de milieux très favorisés et les élèves issus de milieux défavorisés. Elle trouve sa source, en amont, dans l’absence de diversification du recrutement des classes préparatoires et des écoles post-bac au cours de la période. Ce constat d’échec invite à repenser les leviers qui pourraient être mobilisés pour élargir le recrutement des filières sélectives. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113942/download Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 156-174[article] Varia : Grandes écoles : des politiques d'"ouverture sociale" en échec [texte imprimé] / Cécile Bonneau, Auteur ; Pauline Charousset, Auteur ; Julien Grenet, Auteur ; Georgia Thebault, Auteur . - 2022 . - p. 156-174.
Bibliogr.
Langues : Français
in Education et formations > 103 (04/2022) . - p. 156-174
Mots-clés : grande école étudiant origine sociale sélection échec Résumé : Grâce à des données riches et inédites, cet article analyse les inégalités sociales d’accès aux grandes écoles et leur évolution depuis le milieu des années 2000. Malgré les dispositifs d' "ouverture" qui ont été mis en place par certaines grandes écoles pour diversifier le profil de leurs étudiants, ces institutions d’élite sont restées presque entièrement fermées aux élèves issus de milieux sociaux défavorisés et leur base de recrutement n’a guère évolué au cours des quinze dernières années. Cette permanence des inégalités d’accès aux grandes écoles ne s’explique qu’en partie par les écarts de performance scolaire entre les élèves issus de milieux très favorisés et les élèves issus de milieux défavorisés. Elle trouve sa source, en amont, dans l’absence de diversification du recrutement des classes préparatoires et des écoles post-bac au cours de la période. Ce constat d’échec invite à repenser les leviers qui pourraient être mobilisés pour élargir le recrutement des filières sélectives. En ligne : https://www.education.gouv.fr/media/113942/download Format de la ressource électronique : Texte intégral