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Auteur Didier Lauru |
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[article]
Titre : Apprend-on des adolescents ? Type de document : document électronique Auteurs : Didier Lauru, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 124-130 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : adolescent transmission ascendante transmission des savoirs transmission symbolique Résumé : Cet article propose d’explorer la question sur une voie de transmission particulière : la transmission ascendante. Les sujets à l’âge adolescent acquièrent un certain nombre de connaissances, là où les adultes rencontrent souvent beaucoup de difficultés dans le même champ. Dans des situations particulières, les adolescents apprennent plus aisément que les adultes. Certains, dont les parents sont issus de l’immigration, parlent beaucoup mieux la langue de leur terre d’accueil et en connaissent beaucoup mieux la culture. Dans d’autres situations cliniques particulières, nous rencontrons des adolescents dont un ou deux parents présentent une déficience mentale ou un handicap. Dans ces cas, ils peuvent devenir en quelque sorte les parents de leurs parents. Ce qui est très délicat pour nombre d’entre eux. La transmission du symbolique peut-elle être ascendante ? En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2018-1-page-124.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 77 (09/2018) . - p. 124-130[article] Apprend-on des adolescents ? [document électronique] / Didier Lauru, Auteur . - 2018 . - p. 124-130.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 77 (09/2018) . - p. 124-130
Mots-clés : adolescent transmission ascendante transmission des savoirs transmission symbolique Résumé : Cet article propose d’explorer la question sur une voie de transmission particulière : la transmission ascendante. Les sujets à l’âge adolescent acquièrent un certain nombre de connaissances, là où les adultes rencontrent souvent beaucoup de difficultés dans le même champ. Dans des situations particulières, les adolescents apprennent plus aisément que les adultes. Certains, dont les parents sont issus de l’immigration, parlent beaucoup mieux la langue de leur terre d’accueil et en connaissent beaucoup mieux la culture. Dans d’autres situations cliniques particulières, nous rencontrons des adolescents dont un ou deux parents présentent une déficience mentale ou un handicap. Dans ces cas, ils peuvent devenir en quelque sorte les parents de leurs parents. Ce qui est très délicat pour nombre d’entre eux. La transmission du symbolique peut-elle être ascendante ? En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2018-1-page-124.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
[article]
Titre : L’hainamoration à l’adolescence Type de document : document électronique Auteurs : Didier Lauru, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 124-135 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : hainamoration passage à l’acte haine de l’autre adolescence violence haine de soi Résumé : La haine est un affect essentiel que nous rencontrons fréquemment dans la clinique avec les adolescents. Ce peut être la haine de soi, comme la haine de l’autre, ce qui donne des situations cliniques très variées souvent au travers de passages à l’acte. L’hainamoration est un fait clinique qui consiste en une coexistence de la haine et de l’amour chez le même sujet. La thérapie analytique est une approche intéressante pour aider les adolescents à penser leur violence et les origines de leur haine. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2021-1-page-124.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral (Hors FDE, accès via les services du SCDI - Catalogue PRIMO)
in Enfances et psy > 89 (2021) . - p. 124-135[article] L’hainamoration à l’adolescence [document électronique] / Didier Lauru, Auteur . - 2021 . - p. 124-135.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 89 (2021) . - p. 124-135
Mots-clés : hainamoration passage à l’acte haine de l’autre adolescence violence haine de soi Résumé : La haine est un affect essentiel que nous rencontrons fréquemment dans la clinique avec les adolescents. Ce peut être la haine de soi, comme la haine de l’autre, ce qui donne des situations cliniques très variées souvent au travers de passages à l’acte. L’hainamoration est un fait clinique qui consiste en une coexistence de la haine et de l’amour chez le même sujet. La thérapie analytique est une approche intéressante pour aider les adolescents à penser leur violence et les origines de leur haine. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2021-1-page-124.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral (Hors FDE, accès via les services du SCDI - Catalogue PRIMO)
[article]
Titre : La haine : une passion actuelle : Questions à l’anthropologie clinique Type de document : document électronique Auteurs : Olivier Douville, Personne interviewée ; Jean-Yves Le Fourn, Intervieweur ; Didier Lauru, Intervieweur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 39-47 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : adolescence foule hainamoration haine honte mélancolisation du lien social Résumé : Olivier Douville, Jean-Yves Le Fourn et Didier Lauru s’accordent sur cela que la haine est une notion-clé en psychanalyse qui doit être envisagée autrement que comme l’envers de l’amour. Une haine primordiale est au service de l’autoconservation d’un moi idéal, et "purifié" hostile à toute intrusion par l’étranger et l’altérité. Cette définition, qui éclaire les racines inconscientes de la haine, permet également de théoriser les solutions sociales qui incitent à conserver cet idéal d’une pureté cruelle. L’apport de la psychanalyse à l’anthropologie serait bien de situer les irruptions et les variations de cette passion dans le rapport du sujet à ses croyances et à ses allégeances et dans ses volontés de faire Un avec un groupe, un idéal, une cause. Observant la sensibilité et l’appétence des adolescents vivant en des temps de tourments et de violence extrême pour les affiliations valorisant la haine, et alertés en ceci que cette haine est une passion froide (à l’inverse de la jalousie), les auteurs élaborent des hypothèses sur les liens ente haine, honte et "mélancolisation du lien social". En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2021-1-page-39.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral (Hors FDE, accès via les services du SCDI - Catalogue PRIMO)
in Enfances et psy > 89 (2021) . - p. 39-47[article] La haine : une passion actuelle : Questions à l’anthropologie clinique [document électronique] / Olivier Douville, Personne interviewée ; Jean-Yves Le Fourn, Intervieweur ; Didier Lauru, Intervieweur . - 2021 . - p. 39-47.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 89 (2021) . - p. 39-47
Mots-clés : adolescence foule hainamoration haine honte mélancolisation du lien social Résumé : Olivier Douville, Jean-Yves Le Fourn et Didier Lauru s’accordent sur cela que la haine est une notion-clé en psychanalyse qui doit être envisagée autrement que comme l’envers de l’amour. Une haine primordiale est au service de l’autoconservation d’un moi idéal, et "purifié" hostile à toute intrusion par l’étranger et l’altérité. Cette définition, qui éclaire les racines inconscientes de la haine, permet également de théoriser les solutions sociales qui incitent à conserver cet idéal d’une pureté cruelle. L’apport de la psychanalyse à l’anthropologie serait bien de situer les irruptions et les variations de cette passion dans le rapport du sujet à ses croyances et à ses allégeances et dans ses volontés de faire Un avec un groupe, un idéal, une cause. Observant la sensibilité et l’appétence des adolescents vivant en des temps de tourments et de violence extrême pour les affiliations valorisant la haine, et alertés en ceci que cette haine est une passion froide (à l’inverse de la jalousie), les auteurs élaborent des hypothèses sur les liens ente haine, honte et "mélancolisation du lien social". En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2021-1-page-39.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral (Hors FDE, accès via les services du SCDI - Catalogue PRIMO)
[article]
Titre : Hypertrophies du narcissisme Type de document : document électronique Auteurs : Didier Lauru, Auteur ; Jean-Pierre Benoit, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 82-92 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : narcissisme transfert enfant roi hypertrophie narcissique clinique adolescence angoisse de performance harcèlement scolaire Résumé : Le narcissisme occupe aujourd’hui une place plus importante qu’autrefois. L’observation clinique révèle qu’à côté des troubles liés aux défaillances narcissiques, nombreux sont les patients qui souffrent d’une hypertrophie narcissique. L’identité semble chercher une reconnaissance dans une hypertrophie du Moi qui s’appuie sur le Moi idéal plus que sur l’idéal du Moi souverain dans l’organisation névrotique. Une telle bascule favorise la constitution d’états dits limites. A l’adolescence, l’hypertrophie du narcissisme apparait comme une protection d’une identité fragilisée par les remaniements pubertaires. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2018-2-page-82.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 78 (10/2018) . - p. 82-92[article] Hypertrophies du narcissisme [document électronique] / Didier Lauru, Auteur ; Jean-Pierre Benoit, Auteur . - 2018 . - p. 82-92.
Bibliogr.
Langues : Français
in Enfances et psy > 78 (10/2018) . - p. 82-92
Mots-clés : narcissisme transfert enfant roi hypertrophie narcissique clinique adolescence angoisse de performance harcèlement scolaire Résumé : Le narcissisme occupe aujourd’hui une place plus importante qu’autrefois. L’observation clinique révèle qu’à côté des troubles liés aux défaillances narcissiques, nombreux sont les patients qui souffrent d’une hypertrophie narcissique. L’identité semble chercher une reconnaissance dans une hypertrophie du Moi qui s’appuie sur le Moi idéal plus que sur l’idéal du Moi souverain dans l’organisation névrotique. Une telle bascule favorise la constitution d’états dits limites. A l’adolescence, l’hypertrophie du narcissisme apparait comme une protection d’une identité fragilisée par les remaniements pubertaires. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2018-2-page-82.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
[article]
Titre : I would prefer not to : Je préférerais ne pas Type de document : document électronique Auteurs : Didier Lauru, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 167-174 Langues : Français Mots-clés : décrochage scolaire Bartleby opposition passive refus actif errance subjective Résumé : Les décrocheurs scolaires incarnent une pathologie rencontrée de plus en plus fréquemment dans la clinique. Cette pathologie incarne un comportement, au-delà duquel différents types de structures psychiques sont à repérer et à diagnostiquer. En effet, il ne faut pas réduire cet empêchement à aller dans son établissement scolaire à des fonctionnements phobiques, qui dans la pratique sont rarement retrouvés. Bartleby, personnage romanesque incontournable, montre son opposition passive et déconcertante par sa réponse systématique "Je préférerais ne pas." Dans le cadre d’un CMPP, des groupes de parole ont été proposés dans des lycées pour permettre un autre abord de ce symptôme et son élaboration possible. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2017-1-page-167.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Enfances et psy > 73 (06/2017) . - p. 167-174[article] I would prefer not to : Je préférerais ne pas [document électronique] / Didier Lauru, Auteur . - 2017 . - p. 167-174.
Langues : Français
in Enfances et psy > 73 (06/2017) . - p. 167-174
Mots-clés : décrochage scolaire Bartleby opposition passive refus actif errance subjective Résumé : Les décrocheurs scolaires incarnent une pathologie rencontrée de plus en plus fréquemment dans la clinique. Cette pathologie incarne un comportement, au-delà duquel différents types de structures psychiques sont à repérer et à diagnostiquer. En effet, il ne faut pas réduire cet empêchement à aller dans son établissement scolaire à des fonctionnements phobiques, qui dans la pratique sont rarement retrouvés. Bartleby, personnage romanesque incontournable, montre son opposition passive et déconcertante par sa réponse systématique "Je préférerais ne pas." Dans le cadre d’un CMPP, des groupes de parole ont été proposés dans des lycées pour permettre un autre abord de ce symptôme et son élaboration possible. En ligne : https://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2017-1-page-167.htm Format de la ressource électronique : Texte intégral Penser la violence adolescente dans le cadre scolaire / Didier Lauru in Enfances et psy, 54 (01/2012)
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