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Lidil (Grenoble) . 60Langues des signes et genres discursifsMention de date : 11/2019 Paru le : 01/11/2019 |
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Ajouter le résultat dans votre panierWhat Can Discourse Markers Tell Us about Genres and Vice Versa ? A Corpus-Driven Study of French Belgian Sign Language (LSFB) / Silvia Gabarró-López in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : What Can Discourse Markers Tell Us about Genres and Vice Versa ? A Corpus-Driven Study of French Belgian Sign Language (LSFB) Titre original : Qu’est-ce que les marqueurs de discours peuvent nous dire sur les genres et réciproquement ? Une étude de corpus sur la langue des signes de Belgique francophone (LSFB) Type de document : document électronique Auteurs : Silvia Gabarró-López, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais Mots-clés : genre marqueur de discours fonction langue des signes de Belgique francophone (LSFB) Résumé : Cet article étudie l’utilisation de trois marqueurs de discours — les balises-liste, le palm‑up et le signe aussi — à travers les genres en langue des signes de Belgique francophone. Notre échantillon est composé de dialogues argumentatifs, explicatifs, métalinguistiques et narratifs qui sont produits par six signeurs. Nous présentons une description des fonctions des trois marqueurs de discours et de leur distribution à travers les quatre genres. palm-up et aussi peuvent exprimer des fonctions variées, tandis que les fonctions des balises-liste sont plus restreintes. Dans notre échantillon, nous observons qu’il y a peu de différences dans la fréquence d’utilisation des trois marqueurs de discours et de leurs fonctions à travers les genres. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6768 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] What Can Discourse Markers Tell Us about Genres and Vice Versa ? A Corpus-Driven Study of French Belgian Sign Language (LSFB) = Qu’est-ce que les marqueurs de discours peuvent nous dire sur les genres et réciproquement ? Une étude de corpus sur la langue des signes de Belgique francophone (LSFB) [document électronique] / Silvia Gabarró-López, Auteur . - 2019.
Bibliogr.
Langues : Anglais
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : genre marqueur de discours fonction langue des signes de Belgique francophone (LSFB) Résumé : Cet article étudie l’utilisation de trois marqueurs de discours — les balises-liste, le palm‑up et le signe aussi — à travers les genres en langue des signes de Belgique francophone. Notre échantillon est composé de dialogues argumentatifs, explicatifs, métalinguistiques et narratifs qui sont produits par six signeurs. Nous présentons une description des fonctions des trois marqueurs de discours et de leur distribution à travers les quatre genres. palm-up et aussi peuvent exprimer des fonctions variées, tandis que les fonctions des balises-liste sont plus restreintes. Dans notre échantillon, nous observons qu’il y a peu de différences dans la fréquence d’utilisation des trois marqueurs de discours et de leurs fonctions à travers les genres. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6768 Format de la ressource électronique : Texte intégral The Use of Signing Space in Signed News Broadcasts / Pia Simper-Allen in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : The Use of Signing Space in Signed News Broadcasts : L’utilisation de l’espace de signation dans les émissions signées Type de document : document électronique Auteurs : Pia Simper-Allen, Auteur ; Johanna Mesch, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais Mots-clés : Conceptual Blend Theory tokens token blends journal télévisé discours médiatique signé langue des signes suédoise Résumé : Cet article étudie l’utilisation des tokens dans deux types de journaux télévisés, l’un pour un public sourd adulte et l’autre pour un public sourd jeune, en langue des signes suédoise. Un token est un point vide et non topographique dans l’espace de signation qui se situe devant le présentateur. Notre échantillon contient 1084 tokens qui ont été placés à un point précis de cet espace de signation pour faire référence au concept introduit par chaque token au cours du discours. Les présentateurs exploitent ce mécanisme de référence fréquemment et les types de signes les plus utilisés à ce propos sont des signes lexicaux, des pointages et des verbes directionnels. La plupart des tokens sont placés dans l’espace de signation gauche ou droit du présentateur, tandis que l’espace de signation frontal est moins utilisé. Le nombre de tokens est plus réduit dans l’introduction et la conclusion des informations télévisées. Nous pensons que ces résultats pourraient être des spécificités des programmes d’information en langue des signes. Dans notre analyse, nous avons aussi tenu compte de l’utilisation des images à l’écran et de l’effet de celles-ci sur la création des tokens. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6824 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] The Use of Signing Space in Signed News Broadcasts : L’utilisation de l’espace de signation dans les émissions signées [document électronique] / Pia Simper-Allen, Auteur ; Johanna Mesch, Auteur . - 2019.
Bibliogr.
Langues : Anglais
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : Conceptual Blend Theory tokens token blends journal télévisé discours médiatique signé langue des signes suédoise Résumé : Cet article étudie l’utilisation des tokens dans deux types de journaux télévisés, l’un pour un public sourd adulte et l’autre pour un public sourd jeune, en langue des signes suédoise. Un token est un point vide et non topographique dans l’espace de signation qui se situe devant le présentateur. Notre échantillon contient 1084 tokens qui ont été placés à un point précis de cet espace de signation pour faire référence au concept introduit par chaque token au cours du discours. Les présentateurs exploitent ce mécanisme de référence fréquemment et les types de signes les plus utilisés à ce propos sont des signes lexicaux, des pointages et des verbes directionnels. La plupart des tokens sont placés dans l’espace de signation gauche ou droit du présentateur, tandis que l’espace de signation frontal est moins utilisé. Le nombre de tokens est plus réduit dans l’introduction et la conclusion des informations télévisées. Nous pensons que ces résultats pourraient être des spécificités des programmes d’information en langue des signes. Dans notre analyse, nous avons aussi tenu compte de l’utilisation des images à l’écran et de l’effet de celles-ci sur la création des tokens. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6824 Format de la ressource électronique : Texte intégral La représentation corporelle dans le discours signé / Anne-Marie Parisot in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : La représentation corporelle dans le discours signé Type de document : document électronique Auteurs : Anne-Marie Parisot, Auteur ; Darren Saunders, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : représentation corporelle LSQ (langue de signes québécoise) ASL (langue des signes américaine) fonction discursive gestualité Résumé : Dans cet article, nous montrons que l’utilisation de la représentation corporelle est influencée par des facteurs externes et notamment des facteurs discursifs, comme le type de discours et l’intention pragmatique du locuteur. Cette démonstration prend source dans l’analyse de 18 discours narratifs et 18 discours descriptifs, produits en langue de signes québécoise (LSQ) par trois groupes de signeurs sourds : des signeurs natifs de la langue des signes québécoise (LSQ-L1), des signeurs non natifs de la LSQ ayant la langue des signes américaine comme L1 (LSQ-L2), et des signeurs natifs de la langue des signes américaine (ASL-L1). Nous décrivons l’utilisation de la représentation corporelle dans le discours LSQ, en regard de trois caractéristiques propres à ce phénomène (forme de la représentation corporelle, type de marqueurs, fonction discursive), et de facteurs de variation propres au contexte (types de discours, langue de production et langue du signeur). Les résultats suggèrent que la variable langue de production n’a pas d’incidence sur l’utilisation des structures de représentation corporelle (forme et type de marqueur) et que la variation dans la présence de structures de représentation corporelle dans le discours, est plutôt explicable par la motivation pragmatique. En effet, une analyse croisée des variables fonction discursive et type de discours montre que la représentation corporelle est davantage utilisée pour l’adhésion dans les discours narratifs et pour la distanciation dans les discours descriptifs. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6893 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] La représentation corporelle dans le discours signé [document électronique] / Anne-Marie Parisot, Auteur ; Darren Saunders, Auteur . - 2019.
Bibliogr.
Langues : Français
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : représentation corporelle LSQ (langue de signes québécoise) ASL (langue des signes américaine) fonction discursive gestualité Résumé : Dans cet article, nous montrons que l’utilisation de la représentation corporelle est influencée par des facteurs externes et notamment des facteurs discursifs, comme le type de discours et l’intention pragmatique du locuteur. Cette démonstration prend source dans l’analyse de 18 discours narratifs et 18 discours descriptifs, produits en langue de signes québécoise (LSQ) par trois groupes de signeurs sourds : des signeurs natifs de la langue des signes québécoise (LSQ-L1), des signeurs non natifs de la LSQ ayant la langue des signes américaine comme L1 (LSQ-L2), et des signeurs natifs de la langue des signes américaine (ASL-L1). Nous décrivons l’utilisation de la représentation corporelle dans le discours LSQ, en regard de trois caractéristiques propres à ce phénomène (forme de la représentation corporelle, type de marqueurs, fonction discursive), et de facteurs de variation propres au contexte (types de discours, langue de production et langue du signeur). Les résultats suggèrent que la variable langue de production n’a pas d’incidence sur l’utilisation des structures de représentation corporelle (forme et type de marqueur) et que la variation dans la présence de structures de représentation corporelle dans le discours, est plutôt explicable par la motivation pragmatique. En effet, une analyse croisée des variables fonction discursive et type de discours montre que la représentation corporelle est davantage utilisée pour l’adhésion dans les discours narratifs et pour la distanciation dans les discours descriptifs. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6893 Format de la ressource électronique : Texte intégral Conversations spontanées en langue des signes de Belgique francophone (LSFB) / Ingrid Notarrigo in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : Conversations spontanées en langue des signes de Belgique francophone (LSFB) : Fonctions et usages de la répétition Type de document : document électronique Auteurs : Ingrid Notarrigo, Auteur ; Laurence Meurant, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : langue des signes répétition typologie forme fonction grammaire sémantique pragmatique Résumé : Cette étude décrit l’usage des répétitions en conversation spontanée chez les locuteurs de la langue des signes de Belgique francophone (LSFB). L’approche suivie consiste à prendre en compte sans à priori toutes les répétitions rencontrées dans les productions de 18 signeurs du Corpus LSFB, de façon à disposer d’un premier aperçu global de la façon dont la répétition contribue à la structuration grammaticale, sémantique et pragmatique du discours. L’un des apports du travail tient à la typologie formelle et fonctionnelle qu’il propose. Les résultats montrent que les signeurs font un usage similaire des répétitions, ce qui confère à leurs discours un style commun. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7002 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] Conversations spontanées en langue des signes de Belgique francophone (LSFB) : Fonctions et usages de la répétition [document électronique] / Ingrid Notarrigo, Auteur ; Laurence Meurant, Auteur . - 2019.
Bibliogr.
Langues : Français
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : langue des signes répétition typologie forme fonction grammaire sémantique pragmatique Résumé : Cette étude décrit l’usage des répétitions en conversation spontanée chez les locuteurs de la langue des signes de Belgique francophone (LSFB). L’approche suivie consiste à prendre en compte sans à priori toutes les répétitions rencontrées dans les productions de 18 signeurs du Corpus LSFB, de façon à disposer d’un premier aperçu global de la façon dont la répétition contribue à la structuration grammaticale, sémantique et pragmatique du discours. L’un des apports du travail tient à la typologie formelle et fonctionnelle qu’il propose. Les résultats montrent que les signeurs font un usage similaire des répétitions, ce qui confère à leurs discours un style commun. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7002 Format de la ressource électronique : Texte intégral Réflexion exploratoire sur les contours du genre académique en LSF dans les travaux universitaires / Isabelle Estève in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : Réflexion exploratoire sur les contours du genre académique en LSF dans les travaux universitaires Type de document : document électronique Auteurs : Isabelle Estève, Auteur ; Sabah Montigon, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr., Annexe Langues : Français Mots-clés : genre discursif académique LSF littéracie universitaire Résumé : Nous proposons dans cet article d’aborder le genre académique en LSF, de façon exploratoire, comme une pratique sociolinguistique permettant d’utiliser la langue, de structurer sa pensée, et d’agir de façon signifiante dans un contexte donné. Nous rendons compte des difficultés des étudiants sourds, futurs formateurs de LSF, à intégrer les normes discursives, énonciatives, stylistiques de l’oral universitaire, de l’oral réflexif et de la démarche métalinguistique sur et en LSF. Ces difficultés constituent selon nous des ruptures interculturelles entre leurs pratiques langagières initiales et les pratiques discursives académiques. Elles nécessitent la mise en place de dispositifs pédagogiques favorisant l’acculturation à la littéracie académique en LSF, non seulement pour favoriser la réussite universitaire des étudiants sourds, mais aussi leur professionnalisation en tant que formateurs de LSF, dans les champs disciplinaires de la linguistique et de la pédagogie. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7060 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] Réflexion exploratoire sur les contours du genre académique en LSF dans les travaux universitaires [document électronique] / Isabelle Estève, Auteur ; Sabah Montigon, Auteur . - 2019.
Bibliogr., Annexe
Langues : Français
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : genre discursif académique LSF littéracie universitaire Résumé : Nous proposons dans cet article d’aborder le genre académique en LSF, de façon exploratoire, comme une pratique sociolinguistique permettant d’utiliser la langue, de structurer sa pensée, et d’agir de façon signifiante dans un contexte donné. Nous rendons compte des difficultés des étudiants sourds, futurs formateurs de LSF, à intégrer les normes discursives, énonciatives, stylistiques de l’oral universitaire, de l’oral réflexif et de la démarche métalinguistique sur et en LSF. Ces difficultés constituent selon nous des ruptures interculturelles entre leurs pratiques langagières initiales et les pratiques discursives académiques. Elles nécessitent la mise en place de dispositifs pédagogiques favorisant l’acculturation à la littéracie académique en LSF, non seulement pour favoriser la réussite universitaire des étudiants sourds, mais aussi leur professionnalisation en tant que formateurs de LSF, dans les champs disciplinaires de la linguistique et de la pédagogie. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7060 Format de la ressource électronique : Texte intégral Étude exploratoire de la fréquence des catégories linguistiques dans quatre genres discursifs en LSF / Marie-Anne Sallandre in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : Étude exploratoire de la fréquence des catégories linguistiques dans quatre genres discursifs en LSF Type de document : document électronique Auteurs : Marie-Anne Sallandre, Auteur ; Antonio Balvet, Auteur ; Geoffrey Besnard, Auteur ; Brigitte Garcia, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : genre discursif langue des signes française (LSF) corpus unité lexicale unité de transfert statistique Résumé : Cet article présente une analyse de quatre genres discursifs en LSF : narratif, explicatif, argumentatif et dialogal. Les données sont issues de deux corpus, le corpus LS-COLIN (Cuxac et coll., 2002) et le corpus Creagest (Garcia, L’Huillier & Vincent, 2015) et ont été annotées avec les logiciels Excel et ELAN.
L’objectif est de voir s’il existe une systématicité dans la fréquence et le type de catégories linguistiques au regard du genre discursif. Les catégories linguistiques utilisées sont celles proposées dans l’approche sémiologique (Cuxac, 2000) qui suggèrent l’existence de deux grands types d’unités en LSF, toutes deux morphologiquement compositionnelles : d’une part, les unités relevant d’une visée illustrative, et appelées "unités de transferts" et, d’autre part, les unités relevant d’une visée non illustrative que sont les unités lexicales, les pointages et la dactylologie. Des statistiques descriptives viennent compléter la vision globale des données fournies par les effectifs bruts et les proportions des catégories linguistiques pour chaque genre discursif. Par ailleurs, et c’est un fait intéressant, les statistiques retrouvent de manière automatique la répartition entre les deux grands types d’unités, alors que les données n’ont pas été annotées de manière explicite avec cette distinction.En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7136 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] Étude exploratoire de la fréquence des catégories linguistiques dans quatre genres discursifs en LSF [document électronique] / Marie-Anne Sallandre, Auteur ; Antonio Balvet, Auteur ; Geoffrey Besnard, Auteur ; Brigitte Garcia, Auteur . - 2019.
Bibliogr.
Langues : Français
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : genre discursif langue des signes française (LSF) corpus unité lexicale unité de transfert statistique Résumé : Cet article présente une analyse de quatre genres discursifs en LSF : narratif, explicatif, argumentatif et dialogal. Les données sont issues de deux corpus, le corpus LS-COLIN (Cuxac et coll., 2002) et le corpus Creagest (Garcia, L’Huillier & Vincent, 2015) et ont été annotées avec les logiciels Excel et ELAN.
L’objectif est de voir s’il existe une systématicité dans la fréquence et le type de catégories linguistiques au regard du genre discursif. Les catégories linguistiques utilisées sont celles proposées dans l’approche sémiologique (Cuxac, 2000) qui suggèrent l’existence de deux grands types d’unités en LSF, toutes deux morphologiquement compositionnelles : d’une part, les unités relevant d’une visée illustrative, et appelées "unités de transferts" et, d’autre part, les unités relevant d’une visée non illustrative que sont les unités lexicales, les pointages et la dactylologie. Des statistiques descriptives viennent compléter la vision globale des données fournies par les effectifs bruts et les proportions des catégories linguistiques pour chaque genre discursif. Par ailleurs, et c’est un fait intéressant, les statistiques retrouvent de manière automatique la répartition entre les deux grands types d’unités, alors que les données n’ont pas été annotées de manière explicite avec cette distinction.En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7136 Format de la ressource électronique : Texte intégral Marqueurs du genre poétique en langue des signes française / Marie-Pierre Blondel in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : Marqueurs du genre poétique en langue des signes française : Quelles libertés prises avec les règles de la langue ? Type de document : document électronique Auteurs : Marie-Pierre Blondel, Auteur ; Agnès Millet, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : LSF langue des signes poésie genre poétique licence poétique marqueur poétique Résumé : En nous appuyant sur la théorie des « dynamiques iconiques » proposée par Millet (2019) nous interrogeons les caractéristiques du genre poétique dans les langues des signes. Nous partirons des propositions de Klima et Bellugi (1976) pour mettre en relief quelques procédés que nous considérons comme marqueurs du genre poétique en langue des signes française (LSF). À partir d’un corpus authentique en LSF, nous montrerons que la poésie dans les langues des signes exploite ou surexploite des possibilités du système linguistique, sans présenter pour autant de véritables transgressions des règles morphologiques ou syntaxiques. Les marqueurs mis en évidence sont liés au rythme, à l’utilisation spécifique des configurations manuelles et de l’espace ainsi qu’à une volonté d’opacifier les références. Nous montrerons, notamment grâce à leur traduction, que ces procédés en LSF trouvent des équivalents en français. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7129 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] Marqueurs du genre poétique en langue des signes française : Quelles libertés prises avec les règles de la langue ? [document électronique] / Marie-Pierre Blondel, Auteur ; Agnès Millet, Auteur . - 2019.
Bibliogr.
Langues : Français
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : LSF langue des signes poésie genre poétique licence poétique marqueur poétique Résumé : En nous appuyant sur la théorie des « dynamiques iconiques » proposée par Millet (2019) nous interrogeons les caractéristiques du genre poétique dans les langues des signes. Nous partirons des propositions de Klima et Bellugi (1976) pour mettre en relief quelques procédés que nous considérons comme marqueurs du genre poétique en langue des signes française (LSF). À partir d’un corpus authentique en LSF, nous montrerons que la poésie dans les langues des signes exploite ou surexploite des possibilités du système linguistique, sans présenter pour autant de véritables transgressions des règles morphologiques ou syntaxiques. Les marqueurs mis en évidence sont liés au rythme, à l’utilisation spécifique des configurations manuelles et de l’espace ainsi qu’à une volonté d’opacifier les références. Nous montrerons, notamment grâce à leur traduction, que ces procédés en LSF trouvent des équivalents en français. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/7129 Format de la ressource électronique : Texte intégral Varia : Aborder la sensibilisation aux variétés du français en A2-B1 / Christelle Maizonniaux in Lidil (Grenoble), 60 (11/2019)
[article]
Titre : Varia : Aborder la sensibilisation aux variétés du français en A2-B1 : Enjeux et opportunités Type de document : document électronique Auteurs : Christelle Maizonniaux, Auteur Année de publication : 2019 Note générale : Bibliogr., Annexe Langues : Français Mots-clés : variation médiation lexique prononciation niveau A2–B1 du CECR Résumé : La plupart des manuels de FLE invitent désormais à sensibiliser les apprenants à la diversité culturelle des régions francophones, et ce, à travers des pages consacrées à certains aspects de la culture de ces pays. Cependant, ils n’incluent pas toujours de sensibilisation à un lexique spécifique ou aux accents régionaux francophones (Falkert, 2016a). Le CECR intègre une sensibilisation à la variation à partir du niveau B2, mais certains chercheurs (Falkert, 2016b ; Auzeau, 2016) sont d’avis que celle-ci devrait apparaitre à des niveaux moins élevés de maitrise de la langue cible. Nous questionnerons ici la pertinence d’une approche spécifique proposée à des apprenants de niveau A2-B1 basée sur des documents authentiques provenant du Québec et d’Afrique francophone. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6598 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)[article] Varia : Aborder la sensibilisation aux variétés du français en A2-B1 : Enjeux et opportunités [document électronique] / Christelle Maizonniaux, Auteur . - 2019.
Bibliogr., Annexe
Langues : Français
in Lidil (Grenoble) > 60 (11/2019)
Mots-clés : variation médiation lexique prononciation niveau A2–B1 du CECR Résumé : La plupart des manuels de FLE invitent désormais à sensibiliser les apprenants à la diversité culturelle des régions francophones, et ce, à travers des pages consacrées à certains aspects de la culture de ces pays. Cependant, ils n’incluent pas toujours de sensibilisation à un lexique spécifique ou aux accents régionaux francophones (Falkert, 2016a). Le CECR intègre une sensibilisation à la variation à partir du niveau B2, mais certains chercheurs (Falkert, 2016b ; Auzeau, 2016) sont d’avis que celle-ci devrait apparaitre à des niveaux moins élevés de maitrise de la langue cible. Nous questionnerons ici la pertinence d’une approche spécifique proposée à des apprenants de niveau A2-B1 basée sur des documents authentiques provenant du Québec et d’Afrique francophone. En ligne : https://journals.openedition.org/lidil/6598 Format de la ressource électronique : Texte intégral