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Apprendre à parler et construire des mondes : Un exemple de rappel de récit en moyenne section / Martine Jaubert in Pratiques (Metz), 177-178 (08/2018)
[article]
Titre : Apprendre à parler et construire des mondes : Un exemple de rappel de récit en moyenne section Type de document : document électronique Auteurs : Martine Jaubert, Auteur ; Maryse Rebière, Auteur ; Véronique Boiron, Auteur Année de publication : 2018 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : communauté discursive position énonciative construction de significations Résumé : Cette contribution étudie les conduites langagières mobilisées par des élèves de moyenne section pour comprendre, commenter un récit et donner leurs points de vue, dans le cadre d’une "pédagogie de l’écoute". Nous tentons d’analyser comment, indépendamment des interventions magistrales, les élèves travaillent à la construction de significations du texte. On constate des apprentissages tant sur le plan social que cognitif. En effet, les élèves développent une coopération langagière qui permet d’évaluer les différents apports, de les reformuler et d’épaissir, dans la refonte collective des paroles individuelles. Sur le plan cognitif, ils mettent en œuvre, apprennent ou consolident des connaissances sur la langue du récit qui fabrique et organise évènements, personnages et motivations, mais actualise aussi quelque chose du monde et de leur vie. Ainsi les élèves apprennent à comprendre le récit et s’approprient des mises en mots socialement acceptables pour en parler. Ils apprennent à construire une parole tout à la fois personnelle et sociale par rapport au récit, en intériorisent les principes organisateurs, autant d’outils qui les aident à repenser leur propre expérience. En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/4361 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Pratiques (Metz) > 177-178 (08/2018)[article] Apprendre à parler et construire des mondes : Un exemple de rappel de récit en moyenne section [document électronique] / Martine Jaubert, Auteur ; Maryse Rebière, Auteur ; Véronique Boiron, Auteur . - 2018.
Bibliogr.
Langues : Français
in Pratiques (Metz) > 177-178 (08/2018)
Mots-clés : communauté discursive position énonciative construction de significations Résumé : Cette contribution étudie les conduites langagières mobilisées par des élèves de moyenne section pour comprendre, commenter un récit et donner leurs points de vue, dans le cadre d’une "pédagogie de l’écoute". Nous tentons d’analyser comment, indépendamment des interventions magistrales, les élèves travaillent à la construction de significations du texte. On constate des apprentissages tant sur le plan social que cognitif. En effet, les élèves développent une coopération langagière qui permet d’évaluer les différents apports, de les reformuler et d’épaissir, dans la refonte collective des paroles individuelles. Sur le plan cognitif, ils mettent en œuvre, apprennent ou consolident des connaissances sur la langue du récit qui fabrique et organise évènements, personnages et motivations, mais actualise aussi quelque chose du monde et de leur vie. Ainsi les élèves apprennent à comprendre le récit et s’approprient des mises en mots socialement acceptables pour en parler. Ils apprennent à construire une parole tout à la fois personnelle et sociale par rapport au récit, en intériorisent les principes organisateurs, autant d’outils qui les aident à repenser leur propre expérience. En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/4361 Format de la ressource électronique : Texte intégral Exemple, explication et processus de démonstration / Anne Barrière in Annales de Didactique et de Sciences Cognitives, N° 24 (2019)
[article]
Titre : Exemple, explication et processus de démonstration Type de document : document électronique Auteurs : Anne Barrière, Auteur ; Hajji, Azzedine, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 47-74 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : démonstration mathématique logique dialogique position énonciative géométrie arithmétique Résumé : L’article s’intéresse au processus d’élaboration des démonstrations en mathématiques dans une perspective didactique. L’étude cherche à identifier les savoirs métamathématiques en jeu dans le cadre de la validation des énoncés qui s’expriment sous la forme d’implications universellement quantifiées. A cette fin, nous proposons une modélisation de ce processus – depuis la manipulation d’exemples jusqu’au produit fini – en appui sur des outils de logique dialogique. Cette modélisation nous conduit à une caractérisation de ces enjeux de savoir sur le plan de la position énonciative. Les résultats sont dégagés à partir de l’étude de deux cas : un en arithmétique des entiers, l’autre en géométrie plane. Leur comparaison nous permet de discuter des limites d’une approche transversale aux mathématiques de ces savoirs sur l’activité de démonstration. En ligne : https://journals.openedition.org/adsc/622 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Annales de Didactique et de Sciences Cognitives > N° 24 (2019) . - p. 47-74[article] Exemple, explication et processus de démonstration [document électronique] / Anne Barrière, Auteur ; Hajji, Azzedine, Auteur . - 2019 . - p. 47-74.
Bibliogr.
Langues : Français
in Annales de Didactique et de Sciences Cognitives > N° 24 (2019) . - p. 47-74
Mots-clés : démonstration mathématique logique dialogique position énonciative géométrie arithmétique Résumé : L’article s’intéresse au processus d’élaboration des démonstrations en mathématiques dans une perspective didactique. L’étude cherche à identifier les savoirs métamathématiques en jeu dans le cadre de la validation des énoncés qui s’expriment sous la forme d’implications universellement quantifiées. A cette fin, nous proposons une modélisation de ce processus – depuis la manipulation d’exemples jusqu’au produit fini – en appui sur des outils de logique dialogique. Cette modélisation nous conduit à une caractérisation de ces enjeux de savoir sur le plan de la position énonciative. Les résultats sont dégagés à partir de l’étude de deux cas : un en arithmétique des entiers, l’autre en géométrie plane. Leur comparaison nous permet de discuter des limites d’une approche transversale aux mathématiques de ces savoirs sur l’activité de démonstration. En ligne : https://journals.openedition.org/adsc/622 Format de la ressource électronique : Texte intégral Un point de vue singulier sur l'évaluation des écrits / Martine Jaubert in Pratiques (Metz), 195-196 (12/2022)
[article]
Titre : Un point de vue singulier sur l'évaluation des écrits Type de document : document électronique Auteurs : Martine Jaubert, Auteur ; Maryse Rebière, Auteur Année de publication : 2022 Note générale : Bibliogr., Annexes Langues : Français Mots-clés : didactique de l'écrit position énonciative étayage coénonciation geste professionnel évaluation formative Résumé : Penser l’évaluation et l’étayage de l’écrit en termes de co-énonciation suppose d’étudier les gestes d’étude et les gestes professionnels langagiers didactiques qui donnent à voir les évaluations et les réajustements successifs caractéristiques de la construction de significations et de pratiques nouvelles. L’articulation entre outils d’évaluation et progrès (entendu comme processus d’appropriation de la diversité des usages langagiers et formels spécifiques des objets et contextes) conduit à analyser le travail de la position énonciative nécessaire à l’activité d’apprentissage. Son étude constituant un indicateur fécond pour évaluer et étayer l’écriture des élèves, il s’agit de rendre visibles les écarts entre les positions attendues et celles mobilisées pour favoriser des déplacements délibérés au cours de réécritures, au sein des dispositifs d’évaluation formative collective aux Cycles 2 et 3. En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/12061 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Pratiques (Metz) > 195-196 (12/2022)[article] Un point de vue singulier sur l'évaluation des écrits [document électronique] / Martine Jaubert, Auteur ; Maryse Rebière, Auteur . - 2022.
Bibliogr., Annexes
Langues : Français
in Pratiques (Metz) > 195-196 (12/2022)
Mots-clés : didactique de l'écrit position énonciative étayage coénonciation geste professionnel évaluation formative Résumé : Penser l’évaluation et l’étayage de l’écrit en termes de co-énonciation suppose d’étudier les gestes d’étude et les gestes professionnels langagiers didactiques qui donnent à voir les évaluations et les réajustements successifs caractéristiques de la construction de significations et de pratiques nouvelles. L’articulation entre outils d’évaluation et progrès (entendu comme processus d’appropriation de la diversité des usages langagiers et formels spécifiques des objets et contextes) conduit à analyser le travail de la position énonciative nécessaire à l’activité d’apprentissage. Son étude constituant un indicateur fécond pour évaluer et étayer l’écriture des élèves, il s’agit de rendre visibles les écarts entre les positions attendues et celles mobilisées pour favoriser des déplacements délibérés au cours de réécritures, au sein des dispositifs d’évaluation formative collective aux Cycles 2 et 3. En ligne : https://journals.openedition.org/pratiques/12061 Format de la ressource électronique : Texte intégral Positions énonciatives pour apprendre dans les différentes disciplines scolaires : une question pour la didactique du français ? / Martine Jaubert in Pratiques (Metz), 149-150 (06/2011)
[article]
Titre : Positions énonciatives pour apprendre dans les différentes disciplines scolaires : une question pour la didactique du français ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Martine Jaubert, Auteur ; Maryse Rebière, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 112-128 Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : didactique enseignement du français pratique langagière activité position énonciative variation langagière Résumé : Cette contribution s’intéresse aux travaux de recherche intégrant la question des pratiques langagières disciplinaires et de leurs spécificités, dans le cadre de l’école, travaux qui conduisent à poser la question de l’articulation entre la discipline français et les autres disciplines. A quelle discipline revient la prise en charge de l’enseignement de ces pratiques langagières ? Peut-on les enseigner, quelle que soit la discipline, en ignorant les savoirs et les pratiques langagières de chacune et inversement, peut-on enseigner les pratiques langagières disciplinaires en ignorant le fonctionnement du langage, les théories qui le décrivent et les modes de "penser-parler-agir" de la discipline dont l’objet est le langage ? En ce qui concerne le français, malgré le risque d’implosion de sa cohérence d’ensemble, ses objets ne peuvent plus se réduire à la langue et à la littérature. Il semble en effet que les recherches dans les différentes disciplines, y compris le français (langue et littérature) convoquent des concepts relatifs au langage issus de plusieurs champs théoriques. Pour proposer un cadre théorique heuristique aux recherches sur le langage dans les disciplines, ces concepts demandent à être mis en réseau autour de la notion de "position énonciative" qui semble centrale dans les recherches explorées. En ligne : http://journals.openedition.org/pratiques/1718 Format de la ressource électronique : Texte intégral
in Pratiques (Metz) > 149-150 (06/2011) . - p. 112-128[article] Positions énonciatives pour apprendre dans les différentes disciplines scolaires : une question pour la didactique du français ? [texte imprimé] / Martine Jaubert, Auteur ; Maryse Rebière, Auteur . - 2011 . - p. 112-128.
Bibliogr.
Langues : Français
in Pratiques (Metz) > 149-150 (06/2011) . - p. 112-128
Mots-clés : didactique enseignement du français pratique langagière activité position énonciative variation langagière Résumé : Cette contribution s’intéresse aux travaux de recherche intégrant la question des pratiques langagières disciplinaires et de leurs spécificités, dans le cadre de l’école, travaux qui conduisent à poser la question de l’articulation entre la discipline français et les autres disciplines. A quelle discipline revient la prise en charge de l’enseignement de ces pratiques langagières ? Peut-on les enseigner, quelle que soit la discipline, en ignorant les savoirs et les pratiques langagières de chacune et inversement, peut-on enseigner les pratiques langagières disciplinaires en ignorant le fonctionnement du langage, les théories qui le décrivent et les modes de "penser-parler-agir" de la discipline dont l’objet est le langage ? En ce qui concerne le français, malgré le risque d’implosion de sa cohérence d’ensemble, ses objets ne peuvent plus se réduire à la langue et à la littérature. Il semble en effet que les recherches dans les différentes disciplines, y compris le français (langue et littérature) convoquent des concepts relatifs au langage issus de plusieurs champs théoriques. Pour proposer un cadre théorique heuristique aux recherches sur le langage dans les disciplines, ces concepts demandent à être mis en réseau autour de la notion de "position énonciative" qui semble centrale dans les recherches explorées. En ligne : http://journals.openedition.org/pratiques/1718 Format de la ressource électronique : Texte intégral